

Les chaussons rouges (1948) Michael Powell et Emeric Pressburger
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Les chaussons rouges (1948) Michael Powell et Emeric Pressburger
Aimer ou danser, il faut choisir
Il est écrit dans le petit manuel du pédé illustré qu’il faut avoir vu au moins une fois dans sa vie Les chaussons rouges. Tu m‘étonnes : du mélodrame, du ballet, de l’amour, de la tragédie et du conte de fée… on peut pas trouver mieux pour une midinette. Et - qui l’eut cru - le film est cité par des cadors comme Martin Scorsese ou Brian De Palma dans leur panthéon cinématographique. Pourtant, quoi de plus différent que Taxi driver ou Scarface et le film de Michael Powell et Emeric Pressburger ? Y aurait-il donc anguille sous roche, Les chaussons rouges serait-il plus qu’un musical larmoyant pour jeune fille en fleur ? On approche, on approche…
Victoria Page assiste avec sa tante, Lady Neston, à la première d’un ballet dirigé par le célèbre Lermontov,


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