

La rue de la honte (1956) Kenji Mizoguchi
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La rue de la honte (1956) Kenji Mizoguchi
Femmes, je vous aime
La prostitution au Japon a fait l’objet d’un décret en 1956, indiquant que « nul ne peut se prostituer ni devenir un client », puis d’une loi l’interdisant l’année suivante. Si La rue de la honte n’esquive pas le sujet, il met plutôt au centre de son récit cinq femmes exerçant ce métier. Du reste, Kenji Mizoguchi n’en est pas à son premier fait d’arme en la matière. En 1936 il mettait en scène dans Les sœurs de Gion une geisha qui se rebellait. Si toute sa carrière sera peuplée de figures féminines asservies par les hommes, c’est peut-être dans son dernier film qu’il aborde le sujet le plus frontalement, situant son récit dans une maison close. Il adapte pour ce faire un roman de l’écrivaine japonaise Yoshiko Shibaki avec l’aide du scénariste Masashige Narusawa. Ses


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