

Adieu les cons (2020) Albert Dupontel
Tu ne peux plus consulter d’articles ce mois-ci sans être connecté.
Pour ne pas être limité et profiter pleinement de nouvelles fonctionnalités, connecte-toi ou créé un compte en cliquant ci-dessous, c’est gratuit !
Se connecter
Adieu les cons (2020) Albert Dupontel
Quelques grammes de finesse dans un monde de brutes
Le précédent film d’Albert Dupontel, Au revoir là-haut, sonnait un peu comme un pas de côté dans sa filmographie. Il adaptait alors le roman de Pierre Lemaître et obtenait plusieurs Césars, dont celui de la meilleure réalisation. Trois ans plus tard, il récidive avec Adieu les cons, s’octroyant également celui du meilleur scénario original. Il revient ici à ses premières amours, lui qui avait au milieu des années 1990 secoué le cocotier du paysage cinématographique français avec Bernie et son personnage complètement barré mais tellement attachant. Dès lors, le réalisateur n’aura de cesse de pointer du doigts les ratages d’une société dont les dérives sécuritaires ne cessent d’augmenter. Il s’entoure d’une troupe fidèle, dont la


Tu ne peux plus consulter d’articles ce mois-ci sans être connecté.
Pour ne pas être limité et profiter pleinement de nouvelles fonctionnalités, connecte-toi ou créé un compte en cliquant ci-dessous, c’est gratuit !
Se connecter
Florence Oussadi il y a 4 ans
Il y a une scène dans ce film que j'ai particulièrement aimée c'est celle où Nicolas Marié décrit à Virginie Efira le quartier dont il se souvient sauf que tout a fermé ou a été remplacé par des immeubles sans âme. Dupontel s'inscrit dans la filiation de Terry Gilliam mais dans cette scène il m'a fait penser au "Playtime" de Tati avec ces reflets sur les vitres montrant des façades uniformes de tours de bureaux en lieu et place de l'univers familier à taille humaine.
Jean-Philippe Rathle il y a 4 ans
Oui, c'est une jolie scène. Et en effet, Albert Dupontel ne renierait sans doute pas l'héritage de Jacques Tati