Agent Carter - Saison 1
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Agent Carter - Saison 1
Titre d’origine : Marvel’s Agent Carter
Créateur / Showrunner : Christopher Markus, Stephen McFeely
Année : 2015
Pays : États-Unis
Casting : Hayley Atwell, James D’Arcy, Chad Michael Murray, Enver Gjokaj, Shea Whigham, Bridget Reagan, Lyndsy Fonseca, Ralph Brown, Dominic Cooper, Neal McDonough, Toby Jones, Stan Lee
Résumé : En 1946, Peggy Carter est devenue agent pour la SSR – la Section Scientifique de Réserve, première agence de défense secrète américaine et précurseur du S.H.I.E.L.D. – mais elle est encore considérée comme l'ex-petite-amie du disparu Steve Rogers alias Captain America, et surtout comme une femme. Quand Howard Stark est accusé d'avoir vendu des armes de son invention aux Russes, il se tourne vers Peggy pour qu'elle le blanchisse de ces accusations et retrouve les armes volées avant qu'elles ne tombent entre de mauvaises mains. Elle va donc travailler comme agent double avec le soutien du majordome de Stark, Edwin Jarvis.
Avis vite dit : Plutôt mal accueillie par le public américain, cette série qui aura vu son avenir abrégé très tôt puisqu'elle n'aura pas connu plus de deux saisons (qui plus est relativement courtes), s'avère meilleure que ce à quoi je m'attendais. J'ai toujours bien aimé le personnage de Peggy Carter dans Captain America (le film), ceci étant certainement dû à son interprète, Hayley Atwell, qui sort du canon hollywoodien habituel mais possède pourtant un charme et un charisme indéniables. Bon, avouons que dans les scènes d'action elle n'est pas totalement à son aise et que le réalisateur a raison de ne pas s'appesantir de trop sur ces passages somme toute limités. Mais pour ce qui concerne l'intrigue, l'univers des années 1950, le scénario en général, sans casser des briques ça se laisse cependant regarder sans honte. Alors oui, évidemment, période actuelle et période historique du récit obligent, les scénaristes appuient assez grossièrement sur le côté féministe du personnage, sur l'image de la femme à l'époque, sur les revendications d'hier qui trouvent un écho assez surprenant aujourd'hui (comme si entre-temps rien n'avait bougé, ce qui à mon humble avis est loin d'être le cas dans nos sociétés occidentales), mais bien qu'un peu lourdingue ça ne prend pas le pas sur le reste et laisse à l'histoire la place suffisante pour se développer convenablement, donc ok c'est de bonne guerre. On a donc le loisir de plonger dans l'univers Marvel des années 1950 (très peu développé en comics et pas du tout jusqu'ici dans le Marvelverse cinématique) et c'est agréable de retrouver certains concepts et personnages peu utilisés d'habitude (la version jeune du majordome Jarvis par exemple). La série étant courte elle va à l'essentiel et au final sans être impatient, je visionnerai certainement la seconde saison sans déplaisir.
Tous mes avis vite dits ont été initialement publiés sur mon blog : www.moleskine-et-moi.com