

Casablanca (Michael Curtiz, 1942)
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Casablanca (Michael Curtiz, 1942)
Comme "Monnaie de singe" (1931) ou "Huit et demi" (1963), j'ai découvert "Casablanca" à travers "Brazil" (1985) (qui allait à son tour devenir un film culte, cité par les frères Coen dans "Le Grand saut" (1994) ou par Albert DUPONTEL plus récemment dans "Adieu les cons") (2019). Chez Terry GILLIAM, "Casablanca" n'est pas seulement le film que regardent les employés de M. Kurtzmann quand celui-ci a le dos tourné, le personnage principal s'appelle Sam, comme le pianiste emblématique du film de Michael CURTIZ. Comme lui, il est indissociable d'un air entêtant célébrant la nostalgie d'un paradis perdu (dans un Paris ou un Brésil d'opérette) qu'il ne joue pas mais fredonne. Et comme Rick (Humphrey BOGART dont il adopte au cours du film la défroque du privé) le Sam de Gilliam est appelé à


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