

Boyhood (Richard Linklater, 2014)
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Boyhood (Richard Linklater, 2014)
"Toutes les choses coulent" disait Héraclite, premier philosophe du temps qui passe et d'un monde en mouvement perpétuel. Face à cette réalité humaine, le cinéma a pu choisir soit de se placer hors du temps, soit d'épouser le temps. Dans ce deuxième cas de figure, la plupart des réalisateurs ont eu recours à des artifices plus ou moins convaincants pour marquer le temps qui passe: des changements d'acteurs, du maquillage (comme dans La Famille d'Ettore Scola) ou bien aujourd'hui des effets spéciaux (comme dans L'histoire extraordinaire de Benjamin Button de David Fincher). D'autres ont préféré dans un souci de réalisme garder les mêmes acteurs et les laisser grandir ou vieillir. Richard Linklater se situe dans cette deuxième catégorie et il poussé le concept plus loin que les autres.


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