English
Français
Deutsch
Italiano
Español
Panodyssey fait face à la "cancel culture"
Published Oct 21, 2025
Updated Oct 21, 2025
Society
1 min
Society
Published Oct 21, 2025
Updated Oct 21, 2025
1 min
2
Like
0
Love
0
Solidarity
0
Wow
1 comment
33 readings
On Panodyssey, you can read up to 10 publications per month without being logged in. Enjoy8 articles to discover this month.
To gain unlimited access, log in or create an account by clicking below. It's free!
Log in
Panodyssey fait face à la "cancel culture"
Contribute
J'extrapole dans mon titre la lecture d'un article que j'admire : «Faire face à la "cancel culture" par Normand Baillargeon»
dans le n°22 de Front Populaire.
Je ne reproduis aucune partie de texte accessible et limité aux abonnés ou aux acheteurs de la revue comme moi. Je pense que le début de l'article disponible sur le site est largement attirant et explicite même si les cinq pages sont captivantes. Juste les 2 premières lignes de la biographie de l'auteur : Normand Baillargeon, philosophe québécois anciennement professeur en sciences de l'éducation, amoureux de la liberté et de l'esprit critique.
Refuser la publicité, refuser la commercialisation, c'est défendre la plus belle des libertés.
Panodyssey souverain, par analogie avec la revue de Michel Onfray, souverainiste.
Parmi les menaces listées et analysées dans l'article, de manière théorique sans incriminer quiconque, j'ai tout de suite pensé à un cas concret avec les attaques de Trump sur les universités américaines. Le pognon et le pouvoir contre les idées d'humanité....
Je ne suis pas engagé politiquement mais je reconnais que les analyses de Michel Onfray et de ses accolytes me font du bien. Comme Panodyssey.
Bruno
33 readings
1 comment
Previous publication
5 min
You can support your favorite writers
Alexandre Leforestier 20 days ago
Merci pour la mise en honneur. Je ne suis pas certain que Panodyssey puisse se passer économiquement de publicité dans le futur. Pour le moment nous l’avons fait parce que des investisseurs ont osé le risque et financent cette absence. Mais il faut faire des revenus pour payer des salaires et réaliser des investissements. Alors oui, il faut réfléchir à une nouvelle forme de valorisation de l’attention pour des marques respectables. Voilà où j’en suis !