Congratulations! Your support has been successfully sent to the author
Welcome to New York

Welcome to New York

Published Nov 14, 2022 Updated Nov 14, 2022 Culture
time 2 min
0
Love
0
Solidarity
0
Wow
thumb 0 comment
lecture 51 readss
0
reaction

On Panodyssey, you can read up to 30 publications per month without being logged in. Enjoy29 articles to discover this month.

To gain unlimited access, log in or create an account by clicking below. It's free! Log in

Welcome to New York

Titre original : Welcome to New York

 

Année : 2014

 

Réalisateur : Abel Ferrara

 

Pays : France, États-Unis

 

Casting : Gérard Depardieu, Jacqueline Bisset, Drena De Niro, Amy Ferguson, Paul Calderon, Maria Di Angelis, Paul Hipp, Ronald Guttman, Marie Mouté

 

Résumé : Devereaux est un homme puissant. Un homme qui contrôle la destinée économique des nations. Un homme gouverné par un irrépressible appétit sexuel. Un homme qui rêve de sauver le monde et qui ne peut se sauver lui-même. Un homme terrifié. Un homme perdu. Regardez-le tomber... (source : Senscritique.com)

 

Avis vite dit : Ça avait fait parler à sa sortie de par l'exploitation faite de l'affaire DSK et surtout de par les noms prestigieux associés au film (Depardieu, Abel Ferrara et Jacqueline Bisset). La critique l'avait descendu en flèche, il n'a pas eu les honneurs d'une sortie en salle mais uniquement en DTV et sur internet... et à mon avis c'était totalement mérité tant ce film ressemble gravement à un téléfilm d'après-midi sur W9 (en un peu plus osé, admettons). Du prestige du nom d'Abel Ferrara (à ne pas confondre avec Manuel) il ne reste strictement rien de notable à l'écran. Mal filmé, mal cadré, lent, moche, voici ce qui me vient en premier comme qualificatifs en y repensant. Visiblement le budget était trop serré pour se payer un éclairagiste ou un ingé lumière digne de ce nom, du coup on a du mal à voir ce qui se passe à l'image. Côté scénario et dialogues aussi on a fait de grosses économies puisque je pense que personne (ou peut-être un stagiaire ?) n'a songé qu'il serait occasionnellement profitable de travailler un peu là-dessus. Histoire et dialogues sont purement indigents, et on perd par ce biais les qualités d'interprétation qu'on était en droit d'attendre de par le prestige du casting. Même Depardieu peine à exister autrement que par son ventre qui remplit en permanence la majorité de l'écran. Il sue, il ahane, il souffle, il grogne, et de temps en temps il déclame sans conviction quelques platitudes consternantes. Ça se veut certainement choquant et percutant, mais à l'arrivée c'est un pur naufrage pour l'ensemble des participants à ce film. Il n'y a strictement rien à sauver là-dedans.

Tous mes avis vite dits ont été initialement publiés sur mon blog : www.moleskine-et-moi.com

 

lecture 51 readings
thumb 0 comment
0
reaction

Comments (0)

You can support your favorite independent writers by donating to them

Prolong your journey in this universe Culture
Séparation-de-biens
Séparation-de-biens

Un mot d'un dictionnaire, ma définition, vôtre sourire, ma joie. Un mariage, deux rais...

Bernard Ducosson
1 min
Sa tristesse
Sa tristesse

Une petite perle pleure Sa mélancolie n'a pas de limite Elle marche sans fin sur...

Arthur Mede
1 min
MANQUE MOI
MANQUE MOI

Manque moi  Quand ma jeunesse  Lentement déclos Manque moi  Avec dé...

Asteria Nemesis
1 min

donate You can support your favorite writers