

Quai des orfèvres (1947) Henri Georges Clouzot
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Quai des orfèvres (1947) Henri Georges Clouzot
Est-ce que j'ai une gueule d'assassin ?
Juste après avoir adapté L’assassin habite au 21 de Stanislas-André Steeman, le talentueux Henri-Georges Clouzot, ayant été hâtivement interdit de studios à la Libération, s’attaque une nouvelle fois à un polar du romancier belge avec Quai des orfèvres (notons au passage que le matériau d’origine a été bien travaillé ce qui fait plus du film une libre adaptation du roman). Époque oblige, le film tire ses inspirations autant du film noir à l’américaine que du cinéma populaire réaliste à la française. Un mélange plutôt détonnant qui conduit à régulièrement détendre grâce à des pointes d’humour bien senties une atmosphère qui aurait pu se trouver bien chargée. Côté potins, c'est sur le tournage de ce film que le réalisateur rencontrera sa future


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