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Sapé comme jamais
Publié le 8 déc. 2020
Mis à jour le 8 déc. 2020
Musique
2 min
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Publié le 8 déc. 2020
Mis à jour le 8 déc. 2020
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Sapé comme jamais
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Serge Prisset, Mais si, mais si (Serge Prisset/Michel Jourdan), Mercury, 1971.
Positive attitude
Je ne vais même pas parler des deux chansons qui constituent le 45 tours, gentilles comme tout, positives au possible :
« Mais si, mais si, je vends du soleil
De mon hacienda
Pour quelques pesos je le solde »
Mais si, mais si. (Face A)
« Ne mets plus d’eau dans ton vin
Non jamais plus d’eau dans ton vin
Tu ne dois plus faire à demi
Ce qui te plaît, tout ce qui te plaît dans la vie »
Ne mets plus d’eau dans ton vin. (Face B)
C’est de la variété, sentence définitive. Chacun y mettra le mépris ou l’adhésion qu’il désire. Mon combat n’est pas là, d'ailleurs je n'ai pas de combats.
Aubert
(C’est le nom du photographe)
Les braies d’Obélix au sud : « tout le monde sait que c’est dans le sens vertical que les rayures amincissent... ». Quoi que Serge Prisset n’en ait pas vraiment besoin, même tout mouillé il n’est qu’un quart du « gros » gaulois.
Le marcel moulant aux couleurs du salon en formica de l’époque.
Le petit foulard noué autour du cou, le sourire et la coupe de cheveux à la Julien Clerc, d’époque lui aussi.
Parfois, écouter la chanson n’est même pas nécessaire. Enfin, le lien est quand même là
.
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