

Si rien ne bouge
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Si rien ne bouge
Nathalie Lhermitte, Jérôme (Vline Buggy/Julien Lepers), Carrère, 1983
Exploration linguistique
Cette chanson, qui parle de ce qu’il y a de pernicieux dans le progrès (je n’irais pas jusqu’à dire qu’elle dénonce tant elle reste au stade superficiel), est plus à rapprocher de La Montagne de Jean Ferrat que de La Complainte du progrès de Boris Vian. Chez Vian, le progrès est prétexte à l’invention stylistique :
« cire-godasses, repasse-limaces, armoire à cuillères, aérateur, pistolet à gaufres, tabouret à glace et canon à patates »
La fantaisie de Boris Vian explore le champ des possibles.
Choisir, c’est renoncer
Jean Ferrat et Nathalie Lhermitte (rien à voir avec le comédien au passage) sont plutôt versés dans les sentiments, la mélancolie et la méditation. La


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