

A mort le système
Tu ne peux plus consulter d’articles ce mois-ci sans être connecté.
Pour ne pas être limité et profiter pleinement de nouvelles fonctionnalités, connecte-toi ou créé un compte en cliquant ci-dessous, c’est gratuit !
Se connecter
A mort le système
Deuxième partie : Mélodie vagabonde (8)
Ligne de conduite
Armé de sa seule takamba, Alain Péters se met à composer la suite de son œuvre en évitant toute fioriture. Il a désormais trouvé sa ligne de conduite, sa propre plume, il n'imite plus personne. C'est à lui qu'il veut ressembler. Il ne se cache plus derrière un groupe ou des chansons écrites par un autre mais s'avance tel qu'il est : Alain Péters, ni plus, ni moins. Il compose Complainte pour mon défunt papa, un morceau instrumental. On imagine sans peine la portée thérapeutique d'un tel geste. Il pourrait difficilement en être autrement. Il écrit aussi des chansons. Il suit son propre rythme. L'histoire aurait pu se finir ainsi sans l'intervention de Jean-Marie Pirot. Alain Péters aurait pu rester un chanteur des rues


Tu ne peux plus consulter d’articles ce mois-ci sans être connecté.
Pour ne pas être limité et profiter pleinement de nouvelles fonctionnalités, connecte-toi ou créé un compte en cliquant ci-dessous, c’est gratuit !
Se connecter