

Ni décor, ni decorum : une chanson sans limites
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Ni décor, ni decorum : une chanson sans limites
Le temps des métamorphoses (25)
Carte postale
Alain Péters ne chante pas son île. Il ne chante pas les montagnes ni l'océan, ni le décor ni le décorum. Il chante des chansons qui viennent d'une autre sphère. Dans ses paroles, il n'évoque jamais la carte postale, le soleil ou les palmiers. Il ne met aucune nostalgie en scène, ni pour l'enfance ni pour un quelconque paradis perdu ou ailleurs fantasmé, ce qui fait que sa musique parvient à devenir intemporelle. Elle n'est rattachée à rien de concret, ne se réclame d'aucun contexte et ne délivre aucun message. La révolte et le combat se trouvent ailleurs que dans les textes. Bien sûr il chante en créole mais c'est sa langue maternelle. Cela ne suffit pas à faire de lui un chanteur régional qui se gausse de son territoire et se délecte de


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Benjamin Mimouni il y a 2 ans
Oui, il a fait une belle ballade sous ce tire : ça s'appelle "dan' vavangues", reggae blues créole
https://www.youtube.com/watch?v=mprIjJAYdC0
Stéphane Hoegel il y a 2 ans
Merci pour cette nouvelle expression apprise grâce à ton article : partir en vavangue, c'est très beau !