

« Hey Blondin tu veux que je te dise... »
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« Hey Blondin tu veux que je te dise... »
Blondie, Sunday Girl (French version), (Chris Stein), Chrysalis, 1978.
On a tellement l’habitude d’entendre des français chanter de l’anglais en yaourt que l’inverse est rafraîchissant. Debbie Harry avait déjà entonnés quelques mots en français à la fin de Denis, sur l’album Plastic Letters (1977), mais cette fois c’est une chanson entière. Bien sûr, la version française de Sunday Girl ne figure pas sur l’album le plus emblématique de Blondi, Parallel Lines (1978), simplement sur la face B du 45 tours, mais c’est déjà pas mal.
On ne comprend pas un mot de ce qu’elle raconte, surtout dans les couplets, mais est-ce si important ? Ce qui compte, c’est l’intention, l’énergie, l’esprit post-punk du morceau. Mieux vaut une version yaourt assumée par l’interprète original plutôt qu’une


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