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je veux du trumpisme de folie
Publié le 4 févr. 2025
Mis à jour le 4 févr. 2025
Économie
2 min
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Publié le 4 févr. 2025
Mis à jour le 4 févr. 2025
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je veux du trumpisme de folie
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Je veux que trump devienne fou se lâche et instaure des droits de douanes de 90%.
Ce sera en accord avec son autre folie de sortir de l'accord de Paris de la COP21
Je veux qu'il n'y ait plus une bouteille de champagne qui parte en voyage aux USA, ni une seule Ferrari. En échange, je ne veux plus en France une goutte de Cacacola ni de Mac'Do et encore moins de Tesla.
Vive la folie autarcie, la folie du circuit-court.
Plus aucun touriste américain dans les escaliers de la tour Eiffel, plus un seul français dans les bas-fonds de Las Vegas.
Plus un gramme de drogue colombienne en Europe, plus une goutte de pétrole obtenue par fracturation hydraulique, et en échange plus une seule goutte de Chanel N°5 et de cognac transite par les océans.
Plus de guerre dans le monde (militaire et économique) avec implication de l'Amérique hors de ses frontières. Par contre les frontières sont figées à jamais, pas un cm² de plus pour trump, hormis si le BigOne remplit de lave le golfe de Californie.
Plus du tout d'échanges boursiers mondiaux, plus du tout de multinationales et seulement de grosses entreprises continentales. Airbus ne vendrait plus d'avions qu'à l'Europe et Boeing aux USA.
Pour l'espace qui est impossible à partager, on fait un grand strike en explosant 2 ou 3 gros satellites qui se transforment en millions de petits débris-projectiles et qui finissent par dézinguer tous les autres satellites. On stoppe ainsi tous les réseaux sociaux, premier bienfait pour la sauvegarde de l'humanité.
En dessous de la distance utile pour que les satellites restent en orbite, il y a la troposphère.
Gros problème, il faut se partager les nuages et surtout ceux qui se transforment en pluie, en or bleu symbole de vie. On garde la situation actuelle, heureusement qu'il n'y pas encore de règlement international qui se les partage (ou plutôt se les attribue).
Passons un peu à l'alimentation locale avec juste un exemple : plus de banane ou d'ananas d'outre-atlantique même si cela vient des colonies françaises; Le juste fruit doit devenir "trump-règle" et chaque aliment ne doit pas franchir plus de 3000 kms entre producteur et consommateur. Tant pis pour les mangues et avocats du Mexique, pareil pour les moutons ou les kangourous d'Australie.
Concernant l'habillement, finit en Europe les sacs et bottines et peau de crocodile, finit la soie d'orient (on doit bien être capable de recréer des magnaneries dans le massif central).
Vive la folie trumpiste ! L’OMC devient une vraie coquille vide (LEDEVOIR).
Bruno
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