Ce 21 décembre, jouirnée mondiale de l'orgasme !
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Ce 21 décembre, jouirnée mondiale de l'orgasme !
Alors pour suivre le mouvement, je me mets en condition...
Ou pour arriver à vos faims, choisissez certaines des dispositions (les 10 préférées) de la fameuse "gamme à sous-draps"...
Réussi, l'orgasme résulte d'une succession de stimulations régulières opérées sur les zones érogènes d'un corps humain. Le cerveau, qui ne pense pas en permanence "qu'à la chose", ne démarre jamais à froid ! On le stimulera par quelques préliminaires qui viennent titiller sa propre libido, signes avant-coureurs pour se mettre en "mots de sexe". Car plus on va partir de haut en termes d’excitation, plus l’atteinte du seuil orgasmique sera rapide. Ce qui est particulièrement utile si le rapport est bref. Ejaculateur pré-gosse, si tu me suis ?
Gentiment se créer une sorte de graduation amoureuse et l'adoption d'un "vibre ô ma soeur" pourra en être le moteur avant même de rentrer dans le lard -si long peut dire- du/de/la partenaire. C'est à ce stade de l'intromission que la vulgarité gagne toujours ses lettres de noblesse : (tu sais que, je vais t'en....., salo.. !) ; l’objectif est-temps de faire monter progressivement la mayonnaise pour franchir le seuil du plaisir, pour après avoir pas mal crapahuté en "tes reins des terres minées" , atteindre le mytique cap de l’orgasme ; ce fameux "cap de bonne espérance", point de passage obligé pour tout aventurier des mères chaudes comme des filles dociles...
Il en ressort que le principe des "vaseux communient quand" prend en cet instant magique, tout son sens !
Agir sur ses muscles périnéaux
Ainsi la contraction calculée des muscles du périnée augmente t'elle l’afflux de sang vers le clitoris. Trois femmes sur quatre savent contracter leurs fessiers et muscles périnéaux du vagin à l’anus (en d'autres termes et pour s'y tuer d'amour, l'endroit pubien), à l’approche de l’orgasme pour accroître leurs sensations et trois hommes actifs sur quatre ne s'en remettront jamais de s'être fait coincer, sans pouvoir se débattre, en pleine air-action (simulation si vous préférez).
Tenir compte des sentiments de l'autre
Si pour une majorité de femmes invoquer les sentiments n'est pas indispensable à la situation, deux-sûres-trois d'entre-elles intensifient leur plaisir en se libérant à maux doux sussurés chez deux hommes sûrs-d'eux. L'étude ne précise pas de la position de la 3° femme citée, qui se retrouverait sans partenaire pour sa propre "partie si passion" à l'effort collectif. À l’inverse et c'est la position d'une majorité, la présence de sentiments négatifs envers le partenaire du moment (forcés en cas de viol comme partagés en cas de tournantes), pouvant justifier un blocage orgasmique. Un point à travailler avec un sexologue, un psy, un pote de pas sage ou une fille avec laquelle on aura déjà copiné.
Fantasmer pendant l’acte
Mais si une femme sur deux hésitera à ne pas s'en remettre à demain si elle peut n'en utiliser qu'une seule pour booster ses envies naissantes, la seule rugosité exacerbée de l'empreinte digitale d'un majeur errant sur le doux repli intime de lèvres faisant la moue pour ne pas crier, boostera son excitation ; sans pour autant le montrer à son partenaire. Le cerveau est bien une zone érogène ; pour accroître son excitation, une femme sur trois partagera son fantasme avec son partenaire. La difficulté pour le mâle baisé, sera de découvrir à l'ouverture de l'acte 1 -disons de l'entrée en sa première saine-, laquelle d'étroit en sera la plus peinée très...
Le regard
Exister dans les yeux de l'autre, (-ne parle t'on pas "d'yeux de b.aise" pour qualifier un regard empli de désir amoureux) ; une option qui intensifie les changes entre partenaires, surtout lorsque l’orgasme est annoncé pour bien tôt. Puis dès la seconde de l'extase, les tourner vers infini, façon d’associer le romantisme à l’intensité des sensations. Mais peu recommandée aux non-voyants comme aux mal-entendants qui trouvaient dans l'orgasme une voix pour crier leur douce souffrance d'un côté et n'en voyant pas la raison de sexe-clamer leur propre vision de la chose dans le regard de l'autre.
Le désir est l'appétit de l'âme quand il mêle inclination avec ardeur. En ce sens du partage, il en faut pour s'adonner !
L'auteur remercie les petites-mains qui ont contribué à façonner l'érection de cette allégorie : Jéhan Videtoix, Perrine Héal, Alice Théry, Alonso Li, Gérard Mantan-Jouy, Laure Gasme et Jacques Ullan avec Maud Hération...
Un texte librement inspiré de l'article plus sérieux de Daniel Mascret (le-Fig du 10/08/2022)