

Protéger la mémoire
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Protéger la mémoire
Deuxième partie : Mélodie vagabonde (9)
Alain venait chez moi le matin de bonne heure. C'est lui qui a joué de tous les instruments, il faisait du bruit parfois avec n'importe quoi, même avec un sac en plastique frotté devant le micro pour imiter parfaitement le son du kayamb (Jean-Marie Pirot, livret Parabolèr).
Jean-Marie Pirot nous donne ici l'impression qu'Alain Péters se saisit du premier objet qui lui passe sous la main pour faire de la musique alors qu'on sait qu'il lui avait fallu beaucoup de temps pour choisir ce sac en particulier. C'est étrange. C'est comme s'il cherchait à mettre en lumière la spontanéité plutôt que la méticulosité du chanteur. D'une interview à l'autre l'anecdote varie un peu selon ce qu'il veut accentuer.
Suite et fin de l'interview :
mais


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