Inoui, l'arlésienne de Nantes a un visage !
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Inoui, l'arlésienne de Nantes a un visage !
Elle est jeune, elle est jolie et peu de nantais l'on vue en vrai, hormis sur des affiches électorales sur lesquelles elle, élue du PS, promettait monts et merveilles...
Or dans "merveilles", le nantais crut entendre "maire veille" et donna sa confiance en 2008 au PS pour administrer cette ville pour laquelle le maire de l'époque à l'entendre, n'avait rien d'un Jean-Marc héros ; abandonnant son siège éjectable en 2012 à ladite Johanna pour un trône de suprême assis. Pour un Paris qu'il perdra en 2014.
De "Ayrault", le pas est vite franchi vers son homonyme féminin "héroïne", et c'est elle aujourd'hui qui régente la ville et ses administrés. Certains arguent que c'est l'immigration qui aurait gangrené la ville de ses tisanes vendues sous la djellaba et le qamis, mais cette affirmation a vite été balayée par cette maire -qui rit qu'à Nantes- semble se moquer de la situation et ne fait pas de différence entre tous ses enfants... De coeur ! (Notez que le nantais de souche lui-même, reconnait que Johanna Rolland n'a rien d'une héroïne et en est même très loin...)
Actuellement "label de Nantes", Johanna, se cache pour ne pas affronter les réprobations de ses administrés. Nantes est malade de sa délinquance et la maire joue le déni. Il faudrait qu'elle sorte seule le soir dans ces vieux quartiers pourtant animés, après avoir échangé sa tenue de maire contre celle anonyme de mère, pour comprendre certainement trop tard, le sort réservé par des prédateurs appréciant la chair fraîche ; éléments d'une faune bigarrée et patibulaire qui impose ses lois -à sa place- jusque dans la vieille ville !
La "vile" de Nantes est bien malade, qui pour la soigner et qui pour la guérir ?
Entre Moussa-Gérald Darmanin qui ne donnant pas de moyens rechigne, car se retrouvant partagé : assis le cul entre deux chaises entre ses origines et leurs finalités :
-partagé aussi le PS qui a du reprendre son premier emploi de post-scriptum ("écrire après" en latin) ; il faut bien vivre,
-partagé enfin Macron et sa politique "d'en même temps" vue du côté d'une immigration incontrôlable et incontrôlée.
Non celui qui radicalement guérira le mal ne pourra être que le peuple, celui de Nantes, le même qui en son temps a mis au monde notre République, le seul capable "de jeter les pochons pleins de merdes au bourrier".
Amis nantais, par cette parabole qui n'est tournée que vers la place de l'Hôtel-de-Ville, dans votre propre langue, me fais-je bien comprendre ?
Le pays de tous coeurs avec vous.
D'ici là, aux larmes citoyens !
Merci à Jean-Marc Morandini d'avoir ce jeudi 29 septembre 2022, osé d'oser !