La conne, elle nous bassine encore !
Sur Panodyssey, tu peux lire 30 publications par mois sans être connecté. Profite encore de 29 articles à découvrir ce mois-ci.
Pour ne pas être limité, connecte-toi ou créé un compte en cliquant ci-dessous, c’est gratuit !
Se connecter
La conne, elle nous bassine encore !
"Nous avions la gorge qui grattions, nous avions les yeux qui brûlions"...
Egérie d'un grand nombre de ses pairs verts écologistes qui parcourent nos campagnes présidentielles comme résidentielles à la recherche du grand frisson, elle est bien trop rigolote cette muse de gôche qui pense qu'en endossant la salopette de Coluche, elle revêtirait une légitimité politique !
Cette réplique "vomie-sûre" en titre, restera dans les annales des petites phrases politiques de l'année, elle l'a mâchouillée avant de la régurgiter en se plaignant des charges de police au pays des bassines artificielles.
Sandrine Rousseau a bien du mérite car elle n'improvise pas. Née d'un périnée et d'une mère acquise, en elle c'est inné, elle est naturellement con. La connerie chez elle est une première nature, sa seconde c'est qu'elle ne fera jamais rien pour tenter de la changer. L'immensité de sa connerie, -pur symbole de ses lettres de noblesse-, attise sa folie des glandeurs en tous genres ; et quand on parle de genres ce sont bien évidemment ceux de toutes sortes (Les Genres Bien Tordus).
Une conne qui se sert de "ces condoms de pas sages" pour ne pas faire d'enfants, justifie de ces préceptes "à la con" : "érections, pièges à cons".
Les cons ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnait (Audiard)
Sainte Soline, brillez pour elle.