Italie "Le Biscornu" n'est plus !
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Italie "Le Biscornu" n'est plus !
Ce n'est pas parce qu'un homme politique meurt que son pays doit être en deuil. Sauf si sa personnalité en aura été grandie, sa moralité exemplaire et son parcours politique irréprochable. Rien à voir avec le sujet traité....de sale type !
La probité, ça n'aura pas été la force de ce bouffon de Berlusconi dont l'anagramme du nom donne bien : "Le Biscornu" puisque c'est de lui qu'il s'agit, lui dont les frasques ne l'en sortiront pas grandi, lui qui aura su dégrader la politique et l'image de son pays dans le Monde civilisé du fait du seul comportement du cavalier ("il cavaliere" en italien). Pas un mauvais cheval pour un tel cavalier, un surnom qui ne peut venir que de son comportement envers les femmes en général et les minorités sociales telles LGBT en particulier-ère-ers-ères....... Berlusconi, vous percevez maintenant le genre ?
Biscornu : Qui a une forme irrégulière et bizarre.
Synonymes : Absurde, bancal, baroque, extravagant et saugrenu ; abracadabrantesque sur tout !
C'est bien l'image qu'on gardera de lui.
Le transalpin aura eu autant de démélées avec la Justice d'Italie que notre biscornu à nous (qui présente les mêmes symptômes que ci-dessus d'ex-cité) : le "Petit-Nicolas" Sarkozy, n'en aura de sa vie avec la Justice de France. Homme peu recommandable, Berlusconi aura fait modifier la Constitution italienne uniquement pour pouvoir être enterré dans sa maison de campagne ; plus fort -et moins con- que les opposants à Macron pour bouger l'âge de départ en retraite...
"Il cavaliere" qu'on pourrait aussi bien traduire en "cavaleur" aura évité bon nombre de procés lié à son comportement envers les femmes et même l'anagramme de son prénom Silvio (si viol) jette un discrédit sur un comportement inadapté qu'il n'emportera pas au paradis des violeurs de grands chemins...
Berlusconi au trou, Trump sur la voie de l'être, décidemment l'amoralité d'un monde politique pourri est en train de s'éliminer par le vide ; il reste toutefois poutine qui n'a pas dit son dernier mot ni exhalé son dernier râle en ruse. Mais ça ne saurait tarder, il pue déjà la mort.
"Il cavaliere" aura signé son destin d'une croix et toute sa vie il l'a cru s'y fier. Gravée dans le marbre de Milan (cas rare) en épitaphe, l'anagramme du "cavalier" aura bien révélé son "calvaire" : il est bien mort d'avoir trop bien vécu.
Crédit-photo de couverture : Pixabay
crédit-photo de texte : Courrier International