magazine OMERTA
Su Panodyssey puoi leggere fino a 10 pubblicazioni al mese senza effettuare il login. Divertiti 9 articles da scoprire questo mese.
Per avere accesso illimitato ai contenuti, accedi o crea un account cliccando qui sotto: è gratis!
Accedi
magazine OMERTA
Je viens de l’acheter, attiré par son titre « La guerre des mondes ».
Est-ce qu’un jour des journalistes oseront titrer « La guerre des immondes » ?
Cela me fait penser à la chanson de Jean Ferrat « Un air de liberté » où il accuse le patron du Figaro.
Je ne suis pas du coté politique des auteurs des articles de ce magazine.
Mais je trouve instructif de lire leurs pensées et analyses.
Et je ne suis pas du tout d’accord.
En plus, à l’heure de la folie des révélations et magouilles fakenews des réseaux sociaux, intituler ce nouveau magazine « Omerta » relève d’après moi d’une posture purement mercantile. Je ne les pense pas capable de révéler toutes les noirceurs de ce monde, à commencer par les décennies de fonctionnement capitaliste des paradis fiscaux, ceux-là même qui sont responsables à 99 % des guerres actuelles.
S’il y avait une vraie volonté mondiale de mise en œuvre de l’ODD1, on n’entendrait plus parler de colons (Cisjordanie) et de bidonvilles (Mayotte). Les ODD par Novethic me font découvrir, en encart web, deux monstruosités que je mets dans la balance qui penche pour les guerres : Pangeos ; des bunkers ultra-luxueux, la lubie des ultra-riches pour échapper à l’effondrement.
OMERTA, tu ne semble pas en parler….. Je vais donc prendre ton titre de magazine au premier degré. Je t’ai acheté, je suis fortement décroissant, donc antigaspi, je vais donc te lire jusqu’au bout...mais je reconnais c’est un peu dur…. J’ai déjà sauté les 3/4 de l’article écrit par Fillon (ex premier ministre de Sarko...une tare éternelle pour moi!).
Ces lectures confortent ma propre opinion.
Par exemple, je dirais que la guerre que des mondes qui se prépare ne sera pas celle de l’occident contre tous les autres mais plutôt celle de tous les pauvres contre les ultra riches.
Bruno