Ready Player One
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Ready Player One
Titre original : Ready Player One
Année : 2018
Réalisateur : Steven Spielberg
Pays : 2018
Casting : Tye Sheridan, Olivia Cooke, Ben Mendelsohn, T.J. Miller, Simon Pegg, Mark Rylance, Lena Waithe, Win Morisaki, Hannah John-Kamen
Résumé : 2044. La Terre est à l’agonie. Comme la majeure partie de l’humanité, Wade, 17 ans, passe son temps dans l’OASIS – un univers virtuel où chacun peut vivre et être ce qui lui chante. Mais lorsque le fondateur de l’OASIS meurt sans héritier, une formidable chasse au trésor est lancée : celui qui découvrira les trois clefs cachées dans l’OASIS par son créateur remportera 250 milliards de dollars et le contrôle total de l’univers virtuel ! Multinationales et geeks s’affrontent alors dans une quête épique, dont l’avenir du monde est l’enjeu. Que le meilleur gagne… (source : Senscritique.com)
Avis vite dit : Steven Spielberg est très certainement l'un des réalisateurs auquel je fais le plus confiance. Il a pondu de tels chefs-d’œuvre, et des films qui m'auront tant marqué, que je ne pourrais pas faire autrement. Cependant j'avoue que ces dernières années, les thèmes de ses films ne m'attiraient que très peu voire pas du tout, aussi m'étais-je un peu détourné de ses films récents. Mais le voilà de retour dans un domaine qui a fait de lui un des maîtres de son art, le fantastique mixé à l'action et au suspense. Alors forcément moi je n'ai pas su résister. Et Spielberg prouve avec ce film que dans son domaine, il reste le boss absolu, et ça saute aux yeux du début à la fin. C'est beau, c'est léché, c'est malin, c'est intelligent tout en restant facile d'accès (ou si vous préférez c'est grand public sans être abrutissant ou bas de plafond), c'est impressionnant, c'est rythmé, c'est maîtrisé, c'est référentiel et universel (sacré beau paradoxe !), bref : c'est de la balle ! Du cinéma grand spectacle comme j'aime, avec tout ce qu'il faut dans les proportions qu'il faut. Tout fonctionne à merveille dans ce film, on sent que rien n'est laissé au hasard et pourtant tout paraît hyper fluide. Les enchaînements, la bande son, l'interprétation, les effets spéciaux omniprésents mais qui ne donnent pas l'impression d'être envahissants (autrement dit, ils servent l'histoire, ils ne sont pas au centre de l'histoire comme on aurait pu le craindre avec le thème pourtant propice à ce type de dérapage qu'est la réalité virtuelle), tout est au diapason de ce que Spielberg sait faire de mieux : raconter une histoire centrée sur l'humanité de ses personnages. Ouais, définitivement il n'y a rien à ajouter à la démonstration du maître, c'est clair et pas près de changer : c'est Spielberg le patron.
Tous mes avis vite dits ont été initialement publiés sur mon blog : www.moleskine-et-moi.com