Congratulazioni! Il tuo sostegno è stato inviato con successo all'autore
Mon Combat (Wit, Mike Nichols, 2001)

Mon Combat (Wit, Mike Nichols, 2001)

Pubblicato 28 set 2020 Aggiornato 28 set 2020 Cultura
time 2 min
1
Adoro
0
Solidarietà
0
Wow
thumb 0 commento
lecture 144 letturas
1
reazione

Su Panodyssey puoi leggere fino a 30 pubblicazioni al mese senza effettuare il login. Divertiti 29 articles da scoprire questo mese.

Per avere accesso illimitato ai contenuti, accedi o crea un account cliccando qui sotto: è gratis! Accedi

Mon Combat (Wit, Mike Nichols, 2001)

"Mon Combat" est un film d'une très grande intelligence et surtout d'une très grande honnêteté. Il aborde en effet avec franchise l'un des sujets les plus tabous de nos sociétés: la fin de vie et la mort. Le personnage principal, Vivian Bearing interprété par Emma THOMPSON avec la profondeur et la subtilité de jeu qui la caractérisent est une brillante intellectuelle qui a tout sacrifié à son travail d'universitaire dans lequel elle excelle. Mais face à l'épreuve de la maladie (un cancer en phase terminale), elle est bien obligée de se connecter à son corps en souffrance, obligée de renouer avec le monde des émotions, obligée d'accepter la perte de contrôle. Son destin est d'autant plus poignant que n'ayant jamais noué de contacts affectifs et n'ayant plus de famille, sa solitude est absolue, son dénuement, total. Mike NICHOLS ne nous épargne rien de la dégradation progressive de son état mais sans voyeurisme gratuit. Il a d'ailleurs récidivé en dépeignant avec tout autant de réalisme l'agonie de Roy Cohn (Al PACINO) dans la mini-série qu'il a réalisé deux ans plus tard "Angels in America" (2003). D'autre part il dépeint le monde froid, clinique, inhumain des hôpitaux dans lequel l'humain atteint de maladies incurables est transformé en cobaye soumis à l'acharnement thérapeutique de la science sans conscience dans sa quête folle de vaincre la mort. Ce monde horrible auquel le personnage de Richard BERRY soustrayait sa fille atteinte d'une tumeur au cerveau dans le beau film de Christine PASCAL, "Le Petit prince a dit "(1992). On voit bien également comment les médecins en se focalisant sur des données objectives évitent les sujets qui fâchent. Les chiffres abstraits servent à les protéger des émotions qu'ils pourraient ressentir s'ils prenaient la peine d'écouter les angoisses de leurs patients. Seule une infirmière prend la peine d'établir une véritable relation avec Vivian, la réconfortant dans les moments difficiles, lui parlant avec franchise, recueillant ses dernières volontés et réussissant à les faire respecter.

lecture 144 letture
thumb 0 commento
1
reazione

Commento (0)

Puoi sostenere i tuoi scrittori indipendenti preferiti donando loro

Proseguire l'esplorazione dell'universo Cultura
Non à l'expression
Non à l'expression

Je n'ai pas les mots ou ils n'arrivent pas à sortir de la bouche. Peut-être est-il difficile de l'exprimer ou o...

Morgane Danet
1 min

donate Puoi sostenere i tuoi scrittori preferiti