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Hellzapoppin (H.C. Potter, 1941)

Hellzapoppin (H.C. Potter, 1941)

Pubblicato 18 giu 2021 Aggiornato 18 giu 2021 Cultura
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Hellzapoppin (H.C. Potter, 1941)

"Hellzapoppin" est un OVNI dans le paysage cinématographique américain des années quarante de par le fait qu'il mélange au moins trois genres: la comédie musicale (le film est d'ailleurs la déclinaison cinématographique de la revue musicale éponyme de Broadway), la comédie burlesque nonsensique (telle qu'on la trouve à l'époque du muet chez Max LINDER et du parlant des années 30 chez les Marx Brothers) et le cartoon façon Tex AVERY . S'y ajoute un jeu de mise en abyme, le spectateur étant souvent interpellé, le projectionniste du film faisant des apparitions sans parler des auteurs de la pièce (et acteurs principaux du film), le duo comique Ole OLSEN et Chic JOHNSON que l'on voit regarder le film. Le résultat est inventif mais foutraque, hystérique et franchement inégal. L'intrigue imposée par les studios (une romance entre deux jeunes premiers fadasses à peine contrariée par quelques quiproquos) n'a aucun intérêt et elle est d'ailleurs sans arrêt parasitée par des intrusions comiques quand elle n'est pas remisée dans un coin au profit d'un délire nonsensique ou d'une scène de danse de Lindy Hop. Heureusement mais la traduction française fait perdre beaucoup de la saveur des jeux de mots initiaux et on oscille sans cesse entre gags liés à des trucages purement cinématographiques (changements intempestifs de costumes, de taille de plante et de décors, décadrages, inserts venant perturber une scène, disparition d'une partie du corps etc.) et d'autres qui relèvent du théâtre filmé, une partie de l'intrigue se déroulant sur les planches. S'y ajoute l'abattage d'une Martha RAYE alias "big mouth" déchaînée mais qui court beaucoup dans tous les sens et en fait des tonnes.

On a beaucoup écrit que Les Monty Python s'étaient inspirés de Hellzapoppin, néanmoins je préfère l'humour pince-sans-rire british à l'agitation hystérique des américains et celui-ci est au service d'une critique acerbe de la société alors que Hellzapoppin relève du pur divertissement ludique qui tourne un peu à vide.

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