N° 9 - Erigeons à Nicolas Sarkozy, le statut de "repris de justesse" !
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N° 9 - Erigeons à Nicolas Sarkozy, le statut de "repris de justesse" !
Condamné à un an de prison ferme qu'il ne fera jamais, sinon il subirait une "punition-type-woke" d'un dirigeant blanc de plus de 50 ans, l'ancien Président de la République Nicolas Sarkozy, a été reconnu coupable de "financement illégal de campagne électorale" dans le cadre de l'affaire Bygmalion. Sa peine, si elle est confirmée, il l'oubliera au chaud dans la prison dorée d'une résidence douillette, sous le gazouillis charmant de son enchanteuse groupie, mais moins prosaïquement sous "surveillance électronique". Subir du Carla-Bruni en permanence, n'est-ce pas déjà une pire forme de punition ?
Atteint dans "sa dignité", l'ex a décidé de faire appel de cette condamnation. "Le Président Sarkozy n'a jamais demandé à être mieux traité qu'un autre, mais n'a aucune raison de l'être moins bien", a fait valoir son avocat !
Peut-on avancer que justice soit faite envers celui qui, en tant que Président a trahi son peuple par la rédaction de ce "Traité de Lisbonne", camouflet qui a humilié les français qui avaient voté dans une grande majorité, contre l'adhésion de la France à la Communauté Européenne ? Si Justice existait vraiment, sa peine aurait du être bien plus forte et celle des cocus de sa politique beaucoup moins. Un beau déni de démocratie dont l'Histoire-de-la-France saura se souvenir...
Alors une année de purgatoire pour tenter de passer de l'enfer qu'il a créé au paradis qu'il ne méritera pas, -même si elle n'a rien à voir avec le sujet,- devrait bien faire réfléchir ce parjure sur ce dont il ne sera jamais puni, ses trahisons.