Comment la liberté de la presse est assassinée (Sixième partie)
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Comment la liberté de la presse est assassinée (Sixième partie)
Désintérêt médiatique pour certaines affaires
Les médias ont assassiné certains lanceurs d’alerte dénonçant des affaires de corruption, Pierre Condamin-Gerbier et moi-même en sommes victimes. A contrario, certaines affaires ne sont pas publiées, faute d’intérêt, de temps, de moyens et ce, malgré la persévérance des lanceurs d’alerte. On peut aisément imaginer, si l’affaire concerne directement le propriétaire de médias ou ses relations proches, qu’il soit demandé aux journalistes de l’enterrer, sur l’ordre de leur(s) hiérarchie(s).
Ainsi le lanceur d'alerte Alain Robert, ex-technicien de laboratoire bio-éthique spécialisé dans la fécondation in vitro a déposé plainte concernant des erreurs graves commises, entre autres, sur des embryons et des problématiques liées à la traçabilité de paillettes. Après avoir mené son combat en justice et alerté les autorités concernées, cet ex-cadre déclare avoir donné l'exclusivité à Mediapart et au
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La Contre-Attaque des Lanceurs d'Alerte
de
Stephanie Gibaud
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