Comment la justice française assassine t'elle les lanceurs d'alerte ? (Onzième partie)
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Comment la justice française assassine t'elle les lanceurs d'alerte ? (Onzième partie)
Il n'y a pas de tyrannie plus cruelle que celle qui se perpétue sous le bouclier de la loi et au nom de la justice.
Montesquieu
Cinq années après la loi Sapin II, l'éthique en justice est-elle de mise ?
Le cas de Françoise Nicolas est emblématique des frais de justice à la charge du lanceur d’alerte. Fonctionnaire au ministère des Affaires étrangères, elle répète inlassablement avoir dénoncé des “graves dysfonctionnements comptables et juridiques” alors qu'elle était en poste à l'Ambassade de France au Bénin. Elle m’expliquait dès l’été 2015 que les conséquences de sa situation de lanceur d’alerte ont été multiples et ont donc engendré de nombreuses procédures. Depuis l’agression qu’elle a subie le 14 janvier 2010 à son bureau, l’ex-diplomate a dépensé plus de 50.000 euros de frais d’avocats. Mais son cas se heurte à « la raison d’État », même si au sein de son administration personne ne conteste l’existence des dépenses fict
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La Contre-Attaque des Lanceurs d'Alerte
de
Stephanie Gibaud
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