Comment l'Etat français assassine t'il ses lanceurs d'alerte ? (Dixième partie)
Sur Panodyssey, tu peux lire 30 publications par mois sans être connecté. Profite encore de 29 articles à découvrir ce mois-ci.
Pour ne pas être limité, connecte-toi ou créé un compte en cliquant ci-dessous, c’est gratuit !
Se connecter
Comment l'Etat français assassine t'il ses lanceurs d'alerte ? (Dixième partie)
Il semble que les administrations n'échappent pas à la règle de la 'connectivité', bien au contraire. La lanceuse d'alerte Françoise Nicolas subit elle-aussi la puissance de l'entre-soi dans son propre dossier. Depuis six années, elle n'a fait qu'expliquer que la collègue qui l'a agressée à son bureau de l'Ambassade de France au Bénin, Armelle Aplogan, avait un amant nommé Marcel de Souza. Ce dernier était le beau-frère de deux chefs d'Etat africains, Yayi Boni, chef de l'Etat béninois et Faure Gnassingbè, le chef de l'Etat togolais. L'ex-diplomate rélate inlassablement : "(...) un télégramme diplomatique de janvier 2010 qui justifiait mon rapatriement rapide après mon agression par le souci de ne pas ébruiter l'affaire. Cette circonstance a été invoquée et retenue par des tribunaux pour justifier la raison d'Etat, et donc l'absence de toute enquête, maturation d'office en France (pourvoi rejeté par le Conseil d’Etat en 2012), le rejet
Il s’agit d’une publication Prime
Pour en profiter, abonne-toi à la Creative Room
La Contre-Attaque des Lanceurs d'Alerte
de
Stephanie Gibaud
Tu pourras :
Accéder à des contenus exclusifs et aux archives complètes
Avoir un accès anticipé à des contenus
Commenter les publications de l’auteur et rejoindre la communauté des abonnés
Être notifié à chaque nouvelle publication
S’abonner, c’est soutenir un auteur dans la durée
S’abonner à la Creative Room