Comment l'Etat français assassine t'il ses lanceurs d'alerte ? (Dixième partie)
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Comment l'Etat français assassine t'il ses lanceurs d'alerte ? (Dixième partie)
Il semble que les administrations n'échappent pas à la règle de la 'connectivité', bien au contraire. La lanceuse d'alerte Françoise Nicolas subit elle-aussi la puissance de l'entre-soi dans son propre dossier. Depuis six années, elle n'a fait qu'expliquer que la collègue qui l'a agressée à son bureau de l'Ambassade de France au Bénin, Armelle Aplogan, avait un amant nommé Marcel de Souza. Ce dernier était le beau-frère de deux chefs d'Etat africains, Yayi Boni, chef de l'Etat béninois et Faure Gnassingbè, le chef de l'Etat togolais. L'ex-diplomate rélate inlassablement : "(...) un télégramme diplomatique de janvier 2010 qui justifiait mon rapatriement rapide après mon agression par le souci de ne pas ébruiter l'affaire. Cette circonstance a été invoquée et retenue par des tribunaux pour justifier la raison d'Etat, et donc l'absence de toute enquête, maturation d'office en France (pourvoi rejeté par le Conseil d’Etat en 2012), le rejet
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La Contre-Attaque des Lanceurs d'Alerte
de
Stephanie Gibaud
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