Pour Mélenchon, une baffe a t'elle la force d'un revers ?
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Pour Mélenchon, une baffe a t'elle la force d'un revers ?
ou cette absurdité qui rend la politique acceptable
Pour le tribun de la tribune, recevoir de Quatennens et de Bayou -dans l'esprit par personnes interposées-, deux baffes quasi simultanément, ne semble pas l'affecter plus que ceux-là, dès lors que l'une est venue laisser son empreinte sur l'ajout de l'autre. Parole d'évangile assumée, l'honneur est sauf pour notre incroyant. Et l'autre joue, il aura tout loisir de la tendre...
Pour ces deux cogneurs assumer tel geste contre leur compagne dénote du vice dans leurs rapports de force, du genre "ça te passera ou tu te casseras" ou vise vers ça... Faudrait'il que l' Assemblée "les-gifles-flairent" pour pressentir des sanctions contre des calotteurs alors même en cas de revers, que l'acte ait été pratiqué dans un cercle privé -de toute convenance- ; cercle vicieux qui inéluctablement finira par mal tourner ?
Mais l'exemple ne vient-il pas d'en haut ? Quand des députés votent à main levée, n'est-ce pas là prémices à menaces de vouloir forcer celles de ceux qui ne la lèveront pas ; on voit là l'amorce d'une décision voire d'un geste imposant qui forcément laissera des traces, pas forcément empreintes d'échos logiques ?
Pour l'instant Mélenchon ne dit mot, mais consent à reconnaître en ses rangs (les fesses), d'hypothétiques mouvements désordonnés qui pourraient le déstabiliser.
Et tomberait de haut ; l'arrêt public ?
Alors avec Mélenchon, même pas que tapeur !