N°21 - Hidalgo, ses derniers soubresauts avant un dernier passage... avide ?
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N°21 - Hidalgo, ses derniers soubresauts avant un dernier passage... avide ?
Ou a défaut d'un programme de bonne facture, Anne Hidalgo propose un contrat de fin devis... politique !
Telle Bécassine, elle parcourt guillerette la campagne de France en découvrant que la terre est ronde et les guichetiers, des agents distributeurs de billets manquant éhontément des gares dans l'accueil de leurs clients.
Serait-elle atteinte de cette saleté d'Alsheimer des gênées récentes, gênée aux entournures par son incompétence à soulever les foules, bouger son cul et stimuler les médias ! Pauvre Anne, elle qui n'a rien vu venir, rien ressenti et toujours rien compris, perd la tête et déraisonne...
En exergue de son programme social, la candidate PS à la Présidentielle de 2022 argue à qui veut l'entendre "que toute personne majeure confrontée à la phase avancée d'une maladie dont elle ne peut guérir, puisse avoir recours à une fin de vie médicalisée" (Libération).
"Libération" les maux sont dits ! Oui Libération pour la malade. Libération pour son entourage, libération pour son corps politique secoué, libération pour une ville capitale à ses yeux mi-clos et libération pour tout un pays d'un tel poids mort bien lourd à supporter... (métaphore féminisée sur le poids politique d'une Anne morte). il s'évanouit bien vite son crédo vers des oreilles dont nul n'est en capacité psychique d'en tendre !
Ainsi charité bien ordonnée commencera par ça-même : libérer la femme, libérer la ville et libérer le pays du joug d''une calamité symbolisant une telle usure-passion de pouvoirs !
Hidalgo politiquement terrassée par une mort sûre du temps, une mort fine d'une surdose de pouvoirs inassouvis, une mort alitée dévoyée, une mort fondue d'ennui du haut d'une tour d'ivoire dorée ; en bref par une mort taiseuse ou grande faucheuse qui décapite en faisant perdre la tête pour la faire taire pour toujours, sans notion "d'effet maire" et sans regrets éternels !
Pour "garantir le droit à une fin de vie digne dans notre pays", la maire de Paris affirme que "plus de quinze ans après la première loi sur la fin de vie, nombre de Françaises et de Français sont encore contraints d'aller à l'étranger pour trouver ce que notre République se refuse à leur offrir".
Chiche !
L'étranger pour cette Anne mal bâtée, est-ce son pays natal l'Espagne ; au sein duquel elle pense pouvoir se refaire une santé, quitte à y ressusciter de ses cendres ? Du genre Valls à l'endroit plutôt que valse hésitation, souhaitons-lui un tel transfert vers cet au-delà des Pyrénées !
"Nous proposerons que toute personne majeure, confrontée à la phase avancée d'une maladie dont elle ne peut guérir et qui lui cause une souffrance qui ne peut pas être apaisée, puisse bénéficier d'une aide médicalisée. Cependant, en l'absence de volontés clairement exprimées par un malade qui se trouve dans l'incapacité de le faire», (Cas Lambert ; bienfait ?) des personnes de confiance pourraient décider en son nom" ! (AH)
Ainsi appartiendrait-il à quiconque le devoir de l'aider à franchir le pas ! Pour ce qui est d'une fin de vie politique en devenir, ses conditions de santé-mentale sont remplies : "un taux "durée" largement dépassé" (question de foi) à court terme à moins de 5% ce qui la priverait de toute prise en charge en l'Etat ; une perte chaque jour croissante de connaissances l'abandonnant dans l'indifférence générale, un isolement social impitoyable consécutif à l'usage intempestif de mots creux dans un discours anonnant... Paroles irréfléchies ou message subli-minable, ainsi prédira t'elle que la vox-populi en confiance puisse en l'absence d'intelligence traduite d'une personne en déclin qui ne saurait clairement exprimer ses besoins primaires ; décider de son sort et de son devenir sur terre pour un transfert accéléré sous la terre. Et illico "Ad patres" !
De Paris à San-Fernando (ville de sa naissance) : "paix" pour son Anne. Comme l'"amour" en sa France se traduit en l'"amor" en Espagne : (Sentimiento de vivo afecto e inclinación hacia una persona o cosa a la que se le desea todo lo bueno), la post-héritée pourra graver dans le marbre de sa tombe (deux cas rares : de France ou d'outre-Navarre), cette épitaphe :
"ICI REPOSE CELLE QUI AURA PERDU TOUS PARIS D'EXISTER"
ou/donde :
"AQUI REPOSO ESE QUE PERDIO TODO PARIS PARA EXISTIR"
Face aux difficultés du pays, fidèles candidats à la magistrature suprême, brillez pour celle qui pour sa part n'aura jamais réussi à y réfléchir !
Pour la faire oublier, Christiane Taubira (pas avant "j'enviais", affirme t'elle), qui envisage sa qualif pour la place du calife, sortira t'elle bientôt de sa réserve ?
C'est tout le mal que l'on souhaite à cette candidature déjà mal à droite pour une gauche ainsi contrariée...
Ecrit le 18 décembre 2021