Comment la Suisse assassine t'elle ses lanceurs d'alerte ? (Deuxième partie)
Sur Panodyssey, tu peux lire 30 publications par mois sans être connecté. Profite encore de 29 articles à découvrir ce mois-ci.
Pour ne pas être limité, connecte-toi ou créé un compte en cliquant ci-dessous, c’est gratuit !
Se connecter
Comment la Suisse assassine t'elle ses lanceurs d'alerte ? (Deuxième partie)
Nous étions invitées à prendre la parole toutes les deux lors d’une table ronde intitulée « Lanceurs d’alerte : le parcours du combattant » à Paris en novembre 2016. Yasmine expliquait alors qu’un lanceur d’alerte qui aurait l’audace de porter plainte dans le pays du chocolat, en supportant à la fois les coûts exorbitants des avocats, la complexité et la lenteur des procédures judiciaires, lutterait contre un adversaire qui fera traîner le procès dans le but de ruiner et détruire le collaborateur un peu plus qu’il ne l’était en sortant de l’entreprise. Voilà qui rejoint ma triste expérience vécue dans l’Hexagone. À titre d’exemple, Yasmine dit avoir déposé une plainte au mois de mars 2011, la première audience a eu lieu en juin 2014, puis d’autres audiences espacées dans le temps à partir du 1erdécembre 2015 jusqu’à mai 2017, etc. « La victime est ainsi mobilisée durant des années, ressassant son dégoût, avant de pouvoir enfin être ent
Il s’agit d’une publication Prime
Pour en profiter, abonne-toi à la Creative Room
La Contre-Attaque des Lanceurs d'Alerte
de
Stephanie Gibaud
Tu pourras :
Accéder à des contenus exclusifs et aux archives complètes
Avoir un accès anticipé à des contenus
Commenter les publications de l’auteur et rejoindre la communauté des abonnés
Être notifié à chaque nouvelle publication
S’abonner, c’est soutenir un auteur dans la durée
S’abonner à la Creative Room