Congratulations! Your support has been successfully sent to the author
Inventaire

Inventaire

Published Oct 30, 2022 Updated Oct 30, 2022 Music
time 1 min
0
Love
0
Solidarity
0
Wow
thumb 0 comment
lecture 65 readss
1
reaction

On Panodyssey, you can read up to 30 publications per month without being logged in. Enjoy29 articles to discover this month.

To gain unlimited access, log in or create an account by clicking below. It's free! Log in

Inventaire

 

Deuxième partie : Mélodie vagabonde (10)

Malgré des hauts et des bas, Jean-Marie Pirot et Alain Péters, avec la complicité occasionnelle de Pierre Vidot et de Jean-Michel Toquet, alias Zoun, parviennent à mettre dix titres en boîte :

 

- Romance pour un zézère.

- La Complainte de Satan (1ère figure), il y aura une deuxième figure dans quelques années. Cette chanson, malgré l'apparente noirceur de son titre, est plutôt positive. Si le Diable se plaint au Bon Dieu, c'est une bonne chose pour nous (« Oh Bon Dieu, Oh Bon Dieu/Pourquoi tu fais ça ? »). Si ça ne marche pas fort pour lui, tant mieux pour l'homme. Cette chanson est le pendant positif du Diable (ça va) de Jacques Brel, dont on sait qu'Alain Péters était un admirateur. Chez Brel, le Diable se frotte les mains en voyant que les hommes font n'importe quoi, la guerre, les bombes, l'argent. Ici c'est le contraire.

- Caloubadia. Il y aura également une nouvelle version de Caloubadia dans quelques années, dont nous reparlerons. Simplement, contrairement à la Complainte de Satan (2ème figure), qui est une nouvelle chanson, le second enregistrement de Caloubadia ne sera qu'une version différente.

- Maya (illusion), un long morceau instrumental superbement arrangé et très beau.

- Mon pois l'est au feu.

- Panier su la tête mi chanté, qui met en scène un vendeur de fleurs à la sauvette.

- Complainte pour mon défunt papa (instrumental), un morceau rédempteur qu'on a déjà pu évoquer au moment de la mort d’Édouard Péters.

- Ti pas, ti pas n'arriver, une chanson sur la persévérance et l'espoir brandi face à la douleur.

- Wayo Maman, une chanson sous-titrée : maloya. La parole est enfin libérée. On a le droit de faire du maloya, de le jouer, de le chanter, de le danser.

- Mangé pou le cœur, qui date aussi du temps de Carrousel.

 

 

Merci à Eric Ausseil, inventoriste.

lecture 65 readings
thumb 0 comment
1
reaction

Comments (0)

You can support your favorite independent writers by donating to them

Prolong your journey in this universe Music
Il s’appelle Ziggy
Il s’appelle Ziggy

    Pas question de l’avatar de David Bowie ici, mais d’Un gar&ccedi...

Benjamin Mimouni
2 min
Zaho au Zénith
Zaho au Zénith

En 10 mois, son ascension a été fulgurante, mais elle ne semble pas avoir changé pour autant. ...

Agathe Soreau
2 min

donate You can support your favorite writers