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 Farewell to a superb englishman -The Jazz Butcher - The Highest In The Land - 2021

 Farewell to a superb englishman -The Jazz Butcher - The Highest In The Land - 2021

Publié le 3 nov. 2022 Mis à jour le 3 nov. 2022 Musique
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 Farewell to a superb englishman -The Jazz Butcher - The Highest In The Land - 2021

Un grand bonhomme que ce Pat Fish, je me rappelle encore de "Fishcotheque", "Big Planet, Scarey Planet", "Cult Of The Basement" et de tant d'autres. à écouter et à découvrir ici

 

@Photo courtesy of Fire Records

Dans ce dernier album qui clot toute une oeuvre , Pat est décédé depuis chez lui en octobre 2021, on retrouve le Jazz Butcher, alors certes, la voix est fatiguée, il n'y a pas les étincelles de la jeunesse puis de l'âge mûr. Mais la brillance musicale, elle, est toujours présente.

N'oublions pas que l'album est posthume, que Pat tirait la corde de sa vie jusqu'à son extrémité, jusqu'à ce qu'elle se brise et avec elle son cœur.

Humaine, oui, cette musique l'est toujours autant, et c'est bien ce que l'on ressent dans cet album, cette belle humanité, il y a ici encore de belles mélodies et la voix, elle, continue à s'élancer s'emmêlant comme toujours à ces tonalités jazz, si légères, qui flottent doucement, telle la fumée de la cigarette que Pat tient entre ses doigts et que l'on aperçoit, plantée dans sa bouche sur cette belle pochette, prise à Paris, derrière lui on voit l'entrée de la Gare du Nord.

Il s'agit bien d'essence, c'est bien ce qui sourd de cet album, l'essence musicale d'un poète musicien. Sa guitare s'y agite comme sur le reste de son œuvre, joyeuse, libre et elle abandonne derrière elle des sons brillants et vifs, cela sur chaque morceau et ce jusqu'à la fin. Cette fin hélas définitive... Ce qui nous empêchera pas de remettre le disque à nouveau pour faire renaître, si ce n'est Pat, du moins son fantôme et de se laisser alors hanter encore par lui. Sa grâce et sa lumière si particulière. 

A retrouver partiellement ici

Photo de couverture par @credit Ruth Tidmarsh.

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