La seconde valise de Poutine
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La seconde valise de Poutine
ou un secret enfin éventé !
Dans le cortège présidentiel qui suit Poutine dans ses voyages à l'étranger, deux hauts gradés las d'avoir deux valises sous les yeux, en uniformes de paras-noïaques russes empesés de médailles gagnées ailleurs qu'au front, de porter deux valises ; l'une replète l'autre décharnée, aucun de savoir ce que "l'autre", quel secret pouvait-elle recéler ?
D'aucuns d'affirmer que ce sont des papiers, mais ce qu'il y a dessus de dire l'ignorer ; de ne rien en savoir ni au pif ressentir ça les protégeraient.
Aujourd'hui le sujet est éventé, ce sont les excréments du saigneur de toutes les Russies soigneusement emballés, pour pouvoir au pays y être enterrés, les russes sont sensibles à cette terre natale qui les a tant nourris...
Remontons le temps. En 1970, le Président français Pompidou se rend en Union Soviétique quatre ans après De Gaulle pour resserrer des liens tissés. En retour Pompidou y a laissé quelques souvenirs bien personnels que les services-secrets russes ont bien "après-chié" analyser et -par manque de pot pour Pompidou-, arrivés à détecter le véritable état de santé du Président français et la politique soviétique de s'en trouver modifiée ; alors qu'en France le secret restera bien gardé.
Pour Poutine, la leçon fut tirée en 1990 avec le voyage en Orient d'un dignitaire arabe à qui la mésaventure est arrivée. Dès lors, lui qu'on a si souvent dit malade d'un cancer ne voulait révéler son ADN ni ce que ses organes auraient pu avoir du mal à digérer comme à filtrer !
Ainsi le secret de cette seconde valise qui n'aura pas respecté les codes de la bienséance mais ceux de l'insanité ; le caca de Poutine en retour de le raccompagner, un geste écologique pour l'humanité de ne plus rien jeter et de tout recycler. Futile engrais...
Poutine hypocondriaque ça se savait ; ainsi des bains dans du sang extrait de bois de daim sibérien, -supposés améliorer l’espérance de vie et la vigueur sexuelle-, lui auraient-ils été recommandés par le ministre Russe de la Défense Choïgou, originaire de Sibérie. Nul ne saura s'il en aura été revivifié !
Depuis -en coulisse- des tests sanguins sont proposés par le Kremlin aux Chefs d'Etat étrangers, leur permettant ainsi de s’approcher et de serrer la main du Tsar de toutes les Russies...
Macron lui les aurait refusés.
Serait-il malade ?
Merde alors !
Sur un sujet grave, un billet d'humeur de Bernard Ducosson sur les arcanes des pouvoirs.