Tu nous manques...
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Tu nous manques...
Quelques-uns de ses textes ont été chantés par Polnareff et surtout Julien Clerc et ils sont sur toutes les lèvres : « On ira tous au paradis », « Lettre à France », « Tu me manques », « À la fin je pleure », « L’assassin assassiné », « Quelle heure est-île Marquise ? », « Les Oiseaux dans les arbres », « Femmes, je vous aime », « Partir », « On peut rêver », « le temps d’aimer », « Style Ming », « ma doudou », « ma Préférence », « Partir », « « Le Cœur trop grand pour moi », « je Suis mal », « on peut rêver », « Elle danse ailleurs », « Elle faisait la la », « Tant d’amour », « les amours sans larmes », « à son cou, à ses genoux », « Respire », … Autant de titres que Jean-Loup Dabadie a écrits.
À la fin, on pleure. Mais quelqu’un que j’aime et qui m’aimait lisait un livre de … Dabadie. Cette personne, cet écrivain, c’est style Ming !
« La marquise sortit à cinq heures »…
Quelle heure est-île Marquise ? Tenir l’un de ses livres, c’est comme une confidence, un doudou. On se demande quel jeu on joue et on a le cœur trop grand. On est à son cou, à ses genoux. On ressent tant d’amour, mais sans larmes et on s’écrie : « Je suis mal… Respire ! Livre fameux, je vous aime ! »
Avec lui, on peut apprendre à lire, partir, rêver … on ira tous au paradis.
Et on se dit que Dabadie a encore ses préférences et qu’il danse ailleurs, avec ses mots qui dansent et les oiseaux dans les arbres. Et nous autres lecteurs, il nous suffit encore de faire la la pour prendre le temps de l'aimer.