"L'affaire algérienne"
"L'affaire algérienne"
Rétablissons les faits
Boualem SANSAL est né le 10 mars 1944 à Theniet-El-Had en Algérie. C'est un écrivain franco-algérien algéro-français d'expression française qui fut lauréat du "grand prix du roman" de l'Académie Française en 2015 pour son roman "2084 la fin du monde" (sic wikipedia).
Natif d'Algérie, Boualem fut naturellement reconnu dans son pays natal comme citoyen algérien, tout comme le furent ses parents. Ecrivain erratique entre Afrique et continent et après avoir écrit plusieurs essais et romans des deux cotés de la Méditerranée ; il obtient de la France -"où son épouse était déjà hospitalisée" (déjà mère, si l'âme émeut)-, la nationalité française du Président Macron en 2024, alors que son aura en Afrique-du-Nord était bien entachée, pour ses propres écrits à l'encontre du régime algérien.
A noter que le -Code des Nationalités- algérien ne prévoyant pas la double nationalité ; c'est donc à ce titre que -légitimement-, le gouvernement TEBBOUNE (anagramme de Bo Entubé) ait sanctionné son ressortissant, le "roumi" Sansal ; pour avoir contrevenu aux lois de leur pays : l'Algérie !
Rétablissons l'effet
Que le gouvernement français ait crié au scandale n'est que basse manipulation de politique politicienne. Que notre bon peuple -grand signataire de pétitions de tous poils- ait suivi sans piper le berger d'un troupeau hostile à ce Maghreb qui n'a d'herbes qu'hallucinatoires, (ah la vache, c'est de la beu) s'en soit offusqué : n'est que triste ignorance de sa part, de la situation du réactionnaire algérien Sansal, comme des lois géopolitiques qui régissent les principes de la double-nationalité ; dès-lors que la seconde (française) fût supplantée par l'originelle (celle de "l'abat")...
Qu'aurait claironné notre vox-populi gauloise si un quelconque Etat étranger s'était aventuré à critiquer une décision de justice française ? Sûr que le troupeau aurait bêlement réagi ; à l'instar de "l'égorgeur de moutons" qui règne sur son pays ; mais lui pas tout taffé de son bon droit...
Enfin reconnaissons-le !
Ce sidi, bé alors !
Crédit-photo de Médiapart
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