NO FUTURE
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NO FUTURE
Photo Adobe stock champignon atomique planète galaxie
Je ne voulais rien publier autour du premier avril, le monde des fakenews devient de plus en envahissant.
Là, je réagis à la lecture de certains numéros du journal Le Monde.
Le 20 mars, le journal a publié un supplément sur la thématique de la « Génération transitions » et il l’a associé au festival « Nos futurs ».
PhotoCouvertureGenerationTransitions
Je suis un mauvais bougre, je l’ai de suite assimilé à un message plus ancien :« No future ».
Ben oui, le monde va si bien (c’est Capital : le français Bernard Arnault number one milliardaires) !
Qui sait ce qu’il se passera quand ce personnage mourra ???
Car oui, pas besoin d’être devin pour affirmer que le futur de chacun d’entre nous, c’est la mort. Par contre, mourir oui, mais dans quelles conditions ? (dans des draps de velours ou noyé dans de la merde….).
Et puis le journal LeMonde pense encore et toujours à nos jeunes. Et il a publié un spécial Education le 6 avril.
PhotoCouvertureLeMondeCampus
Avec un titre fantastique pour le futur des jeunes « À la recherche des cybercombattants de demain ».
Cela surfe sur l’actualité et l’ambition des militaires français de recruter des milliers de jeunes pour faire la guerre des IA.
Il est pas beau, l’avenir en préparation ?
Je pense que certains, et ils doivent être nombreux, pensent à préparer l’anniversaire du déclenchement de la 2° guerre mondiale. Le centenaire de 1939, c’est pour « demain » et il se prépare dès aujourd’hui. Allez, je me lance à un pronostic : après les JO2024 tous les requins et les vautours du monde entier focaliseront les énergies sur le futur « feu d’artifice » de 2039. Je crois tous les multimilliardaires doivent en rêver.
Je préfère rêver de « la chose » (en patois lourdais) de la chanson Eyma « AquerÒ » plutôt que du sempiternel message environnemental « Nous avons encore les moyens d’agir. » (le Monde le 22 mars à l’occasion d’un dossier sur la publication de la synthèse des travaux du GIEC).
PhotoboutdeUneGIEC
Je prédis que rien ne sera fait, et qu’on retrouvera les mêmes arguments « D’ici à la prochaine édition d’un rapport du GIEC, probablement autour de 2030, les jeux seront faits. » en 2030 pour 2050.
Bruno