 
                     
                    Un voyage mouvementé
                                                                                    Auf Panodyssey kannst du bis zu 10 Veröffentlichungen im Monat lesen ohne dich anmelden zu müssen. Viel Spaß mit 7 articles beim Entdecken.
Um unbegrenzten Zugang zu bekommen, logge dich ein oder erstelle kostenlos ein Konto über den Link unten. 
                                            Einloggen 
                                                                            
Un voyage mouvementé

Rascal poupon, Johnny pilote (Rascal Poupon), 1983, MDM.
Le morceau est ici.
Paré au décollage
J’ai déjà eu l’occasion de parler ici de la reprise d’Itsi Bitsi petit bikini par Rascal Poupon, groupe français déjanté, mais c’est un autre tritre qui m’intéresse aujourd’hui : Johnny pilote. Attachez vos ceintures, c’est encore du grand n’importe quoi, mais ça fatigue d’être sérieux en permanence.
De ce côté-là, Rascal Poupon n’a pas trop à s’en faire question surmenage.
Medley
J’entends dans ce morceau un mélange de deux titres du grand Jacques (Dutronc) : d’abord L’Aventurier, pour l’écriture en forme de liste (par ici si tu veux écouter) :

Je suis un aventurier
Et j’ai beaucoup bourlingué
J’ai fait la vie à Varsovie
J’ai fait le mort à Baltimore
J’ai fait le rat à Canberra
plus subtil :
J’ai été pompette à Papeete
J’ai bu de l’eau à Bordeaux
(N’ayons pas peur des paradoxes).
Et l’énumération continue :
J’ai fait de la tôle à Dole
J’ai été lourdé à Lourdes
(Par Bernadette?)
En bref, c’est une vie bien remplie.
Puis L’Hôtesse de l’air, pour le cadre aérien (à retrouver ici) :

Toute ma vie j’ai rêvé d’être une hôtesse de l’air
Toute ma vie j’ai rêvé de voir le bas d’en haut
Toute ma vie j’ai rêvé d’avoir des talons hauts
Toute ma vie, j’ai rêvé, d’avoir, d’avoir,
Les fesses en l’air
L’Hôtesse de l’air et L’Aventurier donc, ça sonne un peu comme le titre d’une fable, ou d’un conte sous acide, et c’est exactement le plan de vol de Rascal Poupon.
Ma vie en l'air
Au début, ça va encore :
À Bagatelle
Je lâche mes bretelles
Départ Roissy
Je lâche Paris
Mais très vite ça se corse (comme dirait Jacques Dutronc depuis son lieu de villégiature) :
À Chicago je lâche un pruneau
(le mal de l’air peut-être ?)
À Pékin lâchez les nains
Au Dahomey je lâche des pets
(Ah non, voilà qu'il remet ça)
Et à la fin, craquage :
Aux îles malgaches
Mes nerfs me lâchent
(Sans commentaire, ce qui est une autre façon de commenter)
Nous appellerons cela de l’intertextualité.

 491 Aufrufe
                                                        491 Aufrufe
                         Kommentar
                                                        Kommentar
                         
                
             
                
             
                
             
                
             
                
             
                
             
                
             
                
             
                
             
                                 
                                                                                     Beitragen
                                    Beitragen
                                 
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     Du kannst deine Lieblingsautoren unterstützen
                Du kannst deine Lieblingsautoren unterstützen 
             
                         
                            

Luce vor einem Jahr
Les hommes se tirent… les femmes les harcèlent parce qu’ils les ont tirées… 😂
Benjamin Mimouni vor einem Jahr
Jacques Brel ?