Josephine Baker, non je ne dirai rien..
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Josephine Baker, non je ne dirai rien..
Politique
Non je ne dirai rien de préjudiciable qui puisse nuire à la mémoire de cette icone du music-hall d'entre les deux-guerres, sur le fait que notre gouvernement "socialiste" veuille la panthéoniser...
Après Sophie Berthelot, Marie Curie, Germaine Tillon, Geneviève De-Gaulle-Anthonioz et Simone Veil, il n'était pas entré de vraies femmes issues du "people" au panthéon. Voilà chose bientôt fête !
Gisèle Halimi va s'en retourner dans sa tombe, on lui avait promis qu'elle serait la prochaine....
Non pas parce que Joséphine était femme avant leurre, non pas parce qu'elle était noire après l'heure, non pas parce qu'elle était reconnue comme une fille libre et légère à toute heure, mais à l'instar de son égérie Mata-Hari, ses faits de naguerre devaient inspirer le respect.
L'anecdote la plus originale la concernant restera le fait qu'elle transportait des microfilms destinés à la Résistance en les cachant à l'ennemi bien calés au sein de son soutien-gorge. On peut bien reconnaître aujourd'hui sans dévoiler un secret d'Etat qu'elle avait des pellicules là aussi...
Osé, osé, Joséphine, plus rien ne s'oppose à l'ennui !
Alors quand on se souvient qu'elle s'exhibait plus souvent nue qu'habillée, on peut se demander comment -bien trop occupé à la lorgner-, l'occupant a pu ne rien voir ! Vraiment à trop loucher, peut-on perdre la vue ?
En ces temps moroses, une anecdote qui devrait vous donner... la banane !