Fiction ou non fiction, qu’importe, l’auteur se définit par son écriture. Ainsi, celles et ceux qui auront la visibilité suffisante pour vivre de leur plume, trouver leur place dans les bibliothèques, pourront jouir de leur existence. Cependant, qu’en est-il des autres ? Ceux qui restent dans l’ombre des éditions papier ? Ceux qui restent dans la pénombre des plateformes de la toile ? Ceux-là sont des éphémères. Ils ne sont définis que par le bon vouloir d’un algorithme et une bonne dose de chance. La chance peut être forcée par le travail, mais pour ce qui est de l’algorithme, l’auteur reste dépendant de la plateforme qui l’héberge.

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Inexorable disparition

Avoir une visibilité sur internet est un travail éprouvant, qui vient s’ajouter à celui de l’écrit produit. Tout le monde veut être visible, par conséquent, tout le monde s’active à référencer son texte et maintenir une présence. Certains, beaucoup, sombrent du côté obscur, en sacrifiant la qualité sur l’autel de la quantité. Sur Medium, lorsque j’ai quitté la plateforme, de nombreux auteurs se sont mis à inonder les fils avec des textes bâclés, voire entièrement rédigé par l’IA. La goutte d’eau qui a fait tache pour moi. De désillusion en désabonnement, j’ai mis un terme à cette gangrène.
  
Produire tout et n’importe quoi. Produire pour produire. Produire pour exister. C’est à peu près ce que l’on retrouve partout. De nombreux articles sont ainsi repris, à peine modifiés et publiés de nouveau, de site en site. Cette course à la publication trouve son explication dans la primeur de l’information, mais sa racine, elle, vient de cette condition éphémère de l’écrit. Quelle que soit la plateforme sociale, LinkedIn, Facebook, X… la publication existe juste le temps d’être lue. Noyée dans la masse, noyée dans l’instant présent, cette publication est vouée à disparaitre inexorablement, plus ou moins rapidement.

Malgré l'absence de publications pendant quelques jours, ma visibilité sur Panodyssey persiste et croît, y compris pour d'anciens textes.

Panodyssey

Pourtant, dans ce monde de l’instantanéité, il est une plateforme qui a décidé de rendre à l’auteur la place qu’il mérite. Chez Panodyssey, les gens de plumes sont reconnus pour ce qu’ils sont, pour leurs travaux. Et, finalement, ça n’est pas un algorithme qui décide, mais le lecteur. La création est tout autant valorisée. En effet, Panodyssey s’occupe de l’horodater pour le droit, s’occupe du référencement, de la visibilité. Ainsi, l’auteur n’a plus qu’à se consacrer à une seule chose, celle qui le définit : écrire.
  
Quelle différence alors ? La réponse est évidente lorsque vous utilisez Panodyssey : vous continuez d’exister les minutes après votre publication. Vous existez toujours les heures d’après, les jours d’après, les semaines d’après. Sur Panodyssey, vos textes sont rangés dans des classeurs : les Creatives Rooms. Ils restent accessibles et peuvent facilement être retrouvés, lus, relus et partagés.
  
Chez Panodyssey, non seulement vous existez, mais vous perdurez. Tout cela, sans avoir besoin de vendre vos données, et sans sacrifier votre âme au diable. En effet, chez Panodyssey, la seule publicité, c'est la mise en avant de vos textes, bien catégorisés. Chez Panodyssey, la seule et la meilleure publicité, c'est l’auteur. Sans doute bientôt vous ?