« Mon cher ami », « Ma chère amie ».
« Mon cher ami », « Ma chère amie ».
Lors d’un séminaire d’initiation à l’analyse transactionnelle que j’animais dans une grande banque européenne , au moment où j’abordais les transactions cachées, plusieurs participants m’interpellèrent. Ils me décrivaient des expressions codifiées implicitement, confinant à de l’hypocrisie. Par exemple : « mon cher ami » signifiait un léger désaccord. « Mon très cher ami », un désaccord important. La dénotation la plus violente sous des aspects policés étant : « mon cher ami, Jean Louis, vous n’êtes pas sans savoir que… ».Ils m’affirmaient que plus on gravissait les échelons hiérarchiques, plus les griefs, reproches et conflits étaient exprimés avec un sourire apparement bienveillant.
Ils affirmaient que personne n’était dupe, sauf les nouvell
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