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Onzième parano

Onzième parano

Publié le 16 févr. 2020 Mis à jour le 16 févr. 2020 Culture
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Onzième parano

Onzième parano, Marie Vindy, La tengo, 2011...

Paris 11ème arrondissement, Baze Wincler, célèbre chanteur du groupe de rock Surface Noise est arrêté chez lui, suspecté du meurtre d'une jeune femme Clotilde Seger, retrouvée dans le lit du rockeur. Alcoolique, cocaïnomane et pas mal d'autres trucs, Winckler multiplie les conquêtes féminines, mais ses addictions lui ruinent la santé et la mémoire. Aussi n'est-il pas totalement sûr de n'avoir rien fait à Clotilde. Son avocat, fait appel à Mona Cabriole, journaliste et critique de rock pour mener une vraie enquête, puisque la Crime ne le fait qu'à charge du rockeur, coupable idéal.

Comme Gabriel Lecouvreur, alis Le Poulpe, Léo Tanguy ou l'Embaumeur, Mona Cabriole est une héroïne d'une série écrite par plusieurs auteurs. Ce tome écrit par MarIe Vindy est le numéro 9. Je l'aime bien Marie Vindy, j'ai lu Une femme seule et Justice soit-elle. Mais là, je ne sais pas à quoi c'est dû, peut-être une faiblesse du côté de Mona Cabriole, mais je n'ai pas vraiment accroché. Il y a de très bonnes choses, le récit est rock'n'roll mais il y a aussi pas mal de longueurs, de répétitions inutiles et de digressions qui ne servent pas vraiment le texte ni son rythme. Presque 300 pages qui auraient pu être réduites, nettement pour une enquête plus dense, plus dynamique, du vrai rock quoi ! Là, on a plutôt l'impression d'être dans un concert de variété sous couvert de pseudo-rock, genre chanteur qui pense que mettre une guitare qui sature ça fait rockeur -des noms, des noms... Marie Vindy reste un peu trop sur le coté sexe drogue et rock'n'roll sans vraiment pénétrer ce monde, on reste un peu en dehors.

Néanmoins, Mona est sympathique, Marie Vindy sait nous intéresser à son intrigue et aux tribulations de son héroïne, parce qu'elle écrit bien, mais si ce n'est pas un livre qui tombe des mains, je crois qu'il ne restera pas longtemps en mémoire, un peu comme une chanson de variété vite chantée vite écoutée vite oubliée.

Toutes mes chroniques sur mon blog : http://www.lyvres.fr/

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