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Un sale coup : le coup monté du coronavirus

Un sale coup : le coup monté du coronavirus

Publié le 20 oct. 2021 Mis à jour le 20 oct. 2021 Culture
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Un sale coup : le coup monté du coronavirus

"Le spectacle organise avec maîtrise l'ignorance de ce qui advient et, tout de suite après, l'oubli de ce qui a pu quand même être connu. Le plus important est le plus caché" (G. Debord, Commentaires sur la Société du Spectacle)

 

 

Avec maîtrise ... ? Pas sûr, le pessimisme debordien parlait sans doute de cette manière à cause de l'analyse fouilllée et éprouvante du spectacle - société du spectacle, qui plus est "spectacle intégré" - dans lequel tout être social ou citoyen est pris : penser en étant dedans tout en s'émancipant intellectuellement de ce dedans... : équilibrisme théorique...

Actualisons, essayons de penser cette période malsaine - c'est le cas de la dire. L'INVENTION - FABRICATION - CRIMINELLE du covid19 a pour pendant son fiasco sanitaire et déjà le scandale des marchés du vaccin anti-covid ; il ne lui reste plus que la répression et la discrimination. Difficile de faire mieux pour convaincre : forcer, passer en force, décréter, faire son Hitler. C'est bien un PERMIS de TUER, de MENTIR également, qui est toléré pour l'instant (et je passe sur les insultes politiques à l'encontre des gens, notamment des non-vaccinés etc.) : Fauci parjure, annonce gouvernementale française d'une cinquième vague, etc. Qui peut CROIRE à cela, faute même de SAVOIR ? Ce n'est même pas une question d'ignorance : les gens en leur majorité croient comprendre mais ils ne savent pas, tout au moins doivent-ils se douter de la non-véracité de ce qu'on leur dit, au courant de plus en plus de la toxicité qu'on leur vend.

Et le JOURNALISME y est pour beaucoup, encore une fois. Deux articles importants à ce sujet (sujet éthique c'est-à-dire qui concerne "le vivre-ensemble" ou la vie commune dans la cité ou l'Etat) de l'agence Pressenza sont à saluer.

Celui du 18 octobre dernier, intitulé "Atelier de journalisme non-violent au Congrès international de la paix' coordonné par Tony Robinson. Vous avez bien lu : NON-VIOLENT. Car qu'est-ce la violence sinon un déni de la réalité, du consentement, de la vérité (quelle qu'elle soit) etc ? Je cite : il s'agit de préserver "l'information comme bien social et la communication comme droit humain, le développement permanent de la connaissance, la base sociale comme source d'information, l'action au-delà de l'information, le point de vue toujours présent, l'intentionnalité humaine comme moteur de l'action, la responsabilité contre la culpabilité, la diversité comme richesse, les nouvelles sensibilités dans le monde contemporain, l'inacceptabilité de la violence sous toutes ses formes, la dénonciation de l'oppression systémique, la priorité de la résolution non violente des conflits, le traitement des conflits à partir d'une éthique non violente ou la réconciliation comme nouvelle." Tout est dit, résumé en ces lignes : rappel à l'ORDRE, en plein desordre entretenu par les pouvoirs publics. 

Le second article est du 20 octobre (NY, USA par Amy Goodman et Denis Moynihan), aujourd'hui, qui fait état - pour insister (on le sait depuis quelques jours), justement - des agissements des nouveaux 'rois' (un fantasme américain qui court) de la Vallée de misère du Far West, toute adonnée à son informatique de surveillance (faites le lien avec

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