

COVID19 : PERMIS DE TUER (une nouvelle Croisade : propagande, mensonge, emprise, prédictions, détournement, scandale!).
Tu ne peux plus consulter d’articles ce mois-ci sans être connecté.
Pour ne pas être limité et profiter pleinement de nouvelles fonctionnalités, connecte-toi ou créé un compte en cliquant ci-dessous, c’est gratuit !
Se connecter
COVID19 : PERMIS DE TUER (une nouvelle Croisade : propagande, mensonge, emprise, prédictions, détournement, scandale!).
"Tous les corbeaux sont noirs" (K. Popper)
"C'est la plus vieille spécialisation sociale, la spécialisation du pouvoir, qui est à la racine du spectacle. Le spectacle est ainsi une activité spécialisée qui parle pour l'ensemble des autres. C'est la représentation diplomatique de la société hiérarchique devant elle-même, où toute autre parole est bannie. Le plus moderne y est aussi le plus archaïque" (G. Debord, La Société du Spectacle)
"Quand il pleut, quand il y a de faux nuages sur Paris, n'oubliez jamais que c'est la faute du gouvernement. La production industrielle aliénée fait la pluie. La révolution fait le beau temps." (G. Debord, "La Planète malade")
**
Un temps de covidiens : pourri (qu'on pourrit), de m., qu'on voudrait irrespirable : si.
Ironie du Sort : une vraie crise - ancienne - du Climat, avec un Sommet par le bas 'sana-sana), et une crise sanitaire déclenchée (artificielle) en labo (la p'tite frappe d'expérimentation).
Guy Debord ironisait sur la pollution comme thème à la mode (déjà), désolé de cette société MALADE qui recrée le Monde comme environnement et décor de sa maladie, qui produit "de la non-vie", visant par là "les maîtres de la société", ce qui n'est pas sans rappeler les "Masters of War" d'une Roue Libre américaine (Printemps 1963), c'est-à-dire ceux qui jouent avec NOTRE MONDE : inadmissible, "impardonnable".
Qu'est-ce que cela fait, comment cela retentit-il sur toute la société (quand elle est mondialisée) ? Avec tout cet argent (mafieux en cols blancs - nouveaux Mao allez savoir) du financement sale (corruption active), ça grise (du mauvais temps à coup sûr). Ils font illusion, ces cyniques aux idées pétrolifères qui donnent des coups de pieds (ces ânes) dans la mappemonde. Récrire l'Histoire c'est aussi récrire la Géographie. C'est comme nier que tous les corbeaux sont noirs (le saviez-vous ? Soros a lu Popper!), nous resservir la fable de la malédiction pour nous faire accroire que les oiseaux de nuit sont des oiseaux de jour et vice versa. Ce qui équivaut, aussi, à nous faire croire, aujourd'hui, que poser une question philosophique c'est la poser à Minerve (la lecture s'est décentrée avec les découvertes du Monde, et il est grand) ; autant dire qu'on voudrait nous mettre des colliers de force.
Ce texte pourrait s'intituler "Qu'est-ce qu'une légende ?" Ce serait une bonne entrée en matière : apprendre à lire, à situer (sur une carte), en pleine géographie c'est-à-dire en pleine politique guerrière : question d'échelle(s). De quoi rebondir sur l'idée de PROPAGANDE, ou/et celle de DISPOSITIF.
**
1. "NARRATIVE" : PROPAGANDE ET IMAGINAIRE.
La propagande sert, aussi, à passer au-dessus d'un SCANDALE. C'est ce que disait Guy Debord - qui s'intéressait au pocker - dans un texte de 1956 : "Mode d'emploi du détournement". Le détournement suppose, en effet, "un original vidé de sens et oublié". A partir de 1971, lorsqu'il écrit "La Société du Spectacle" et ses "Commentaires sur la Société du Spectacle", il reconsidère la notion de scandale pour celle de SECRET. Mais le détournement est bien analysé, et mis à profit ; il existe deux catégories, la seconde étant la plus grave, très grave : le détournement comme usage ABUSIF (appelé "prémonitoire"). De quoi s'agit-il ? D'un élément significatif dont le rapprochement qu'on lui fait subir lui donne une portée différente. Tel est le cas du détournement dont on se sert comme retournement, comme un MIROIR ACCUSATOIRE. Le cinéma en prenait plein la figure ("comme au cinéma !" s'amusera un autre Guy [Hocquenghem)], car il s'agit bien d'une technique d'EMPRISE ; ce qui pose la question du SUJET.
Lacan, dans son Séminaire (L. III) sur les psychoses, disait : "Dans toute identification imaginaire, le 'tu es' aboutit à la destruction de l'autre, et inversement, parce que cette destruction est là simplement en forme de transfert, se dérobe dans ce que nous appelons la tutoiité". Tu es (regarde-toi, et comme moi je le veux), ou Tuer ! Les impuissants en identification, ou déçus, se projettent.
On sait que le MIROIR est une ARME de GUERRE :
Il s’agit d’une publication Prime
Pour en profiter, abonne-toi à la Creative Room
La corruption
de
Cecile Voisset
Tu pourras :
Accéder à des contenus exclusifs et aux archives complètes
Avoir un accès anticipé à des contenus
Commenter les publications de l’auteur et rejoindre la communauté des abonnés
Être notifié à chaque nouvelle publication
S’abonner, c’est soutenir un auteur dans la durée
S’abonner à la Creative Room

Tu ne peux plus consulter d’articles ce mois-ci sans être connecté.
Pour ne pas être limité et profiter pleinement de nouvelles fonctionnalités, connecte-toi ou créé un compte en cliquant ci-dessous, c’est gratuit !
Se connecter
Le bloc commentaire est réservé aux abonnés.
S’abonner, c’est soutenir un auteur dans la durée
S’abonner à la Creative Room