Les observateurs et lecteurs attentifs font un constat, lequel met déjà à mal la politique américaine dans cette guerre qu'est le COVIDISME (du vide et du mensonger, du pur virtuel [only bu game] et non pas du réel ou ce qui concerne le terrain même : non pas un VIRUS mais du VACCIN qui tue). Cette GUERRE a plusieurs FRONTS dont celui - bien réel et principal pour le moment sur lequel se braquent les mass medias bêlant comme ils le faisaient juste avant avec la soi disant pandémie dangereusement virale : un front qu'on appelera 'premier front', pure affaire américaine qui nécessitait la fabrication délibérée d'un virus entraînant des mesures pseudo-sanitaires et versant dans une idéologie de la modification du génome humain : garre à l'ADN. Arrêtons-nous donc sur ce "second front' ou front américano-ukraino-russe; et ce FOCUS n'en exclut pas un autre, simultané, simultané et bien réel qui n'est pas ou plus celui du Corona virus (an obvious scam) sans que cela interdise à quiconque (et les convoyeurs américains et canadiens pour la Liberté le savent, comme tant d'autres qui s'efforcent à se tenir éveillés pour la suite des événements (refuser catégoriquement les vaccine mandates, l'identité numérique ou passeport digital, une idéologie du Tout contrôle et qui contrevient aux droits élémentaires et qui nuit à la santé qui etc etc.).

*

Dès avant, ayons ou gardons en tête une administration trumpienne car c'est de là, à cette époque même qu'est lancée l'opération COVID19 (nom de code de cette guerre dont nous faisons les frais) jusqu'à l'élection de J. Biden en passant par l'attaque du Capitole à Washington. Ayons également en tête, eu égard à un journaliste qui honore la profession journalistique jusqu'à payer de sa personne en prison et qui met aux prises la situation inhumaine de Julian Assange (puisque c'est du fondateur de Wikileaks dont il s'agit, et non d'un espion malveillant) et avec la politique américaine et avec la politique britannique ; ayons-le d'autant plus en tête que les war criminals au sujet desquels il aurait des déclarations à faire valent pour les époques de la guerre d'Irak, .... de l'attaque du World Trade Center... A cet égard, D. Trump (figure du repris de justice) ne semble pas avoir rompu avec de répréhensibles façons de faire, on dirait même que cela a empirait avec le Président-Tweeter : sa marque de fabrique, sa spécificité (et sans doute un boulot à plein temps) à savoir twitter : c'est-à-dire jacasser, comme une pie ; encore notre bestiaire de recherche qui s'étend, et de là à entendre (car le tweeter est aussi un haut-parleur) cette pie parlotter et agiter les esprit des utilisateurs du réseau social (concurrent à la base, alternative aux mass media), voler leur temps et leurs croyances voire leurs naïvetés..... ce n'est pas difficile à imaginer. Aller sur Twitter renseigne.

Mais, avant de revenir à DONALD (on aura les suivants, après), à cette figure politique de la confusion digne d'un mélange des genres où un Disney se mêlerait par exemple à de la négociation pure et dure, habituelle (ou traditionnelle), sur le sol.... On y reviendra : parce qu'il ne faut jamais oublier que le GLOBALISME ([quasi] synonyme de COVIDISME) est un usage massif et abusif de la digitalisation et avant de la numérisation de l'info mais que sa politique (sa pratique de la négociation : économique etc : il tient des forums...) est de terrain. Ce que je veux dire c'est que le GLOBAL n'est pas exclusif du LOCAL, cela va même avec po