Commentaire de l'image, avant celui du titre.

Si vous consultez le site de la Central Intelligence Agency (CIA), laquelle fait tellement parler d'elle depuis quelques temps (comment ne pas lire, et non pas voir, un signe qui permette de déchiffrer du sens au covid nonsense ?), vous lirez ceci pour qui serait appelé à travailler pour Elle : outre le "We are the Nation's first line of defense" (qui ne manque pas d'air, tout particulièrement en temps de covid c'est-à-dire de mascarade avec tout l'attirail requis du maquillage etc), "CIA's legacy is one of brave individuals dedicated to freedom, fulfilling our intelligence mission with ingenuity and grit". Alors là, franchement, ce n'est même pas que ça manque de sel : c'est autant de non-sens - un de plus ou le principiel, le principal ou la source du MENSONGE - que ce - tout le package du marketing - que vous entendez depuis l'entrée de la Pandémie Corona virus - Grande Dame couronnée : an Old Lady why not, or a counterfeited one - an Avatar ? - sur la scène internationale. Comment prétendre, se prétendre COURAGEUX, doué de courage (de cran, même), quand on agit en douce pou sous-main, quand on double une diplomatie de droit par une de non-droit (Deep State, que je traduirai par 'cabinet Noir') ? LE COURAGE C'EST L'EXPOSITION, PAS LA DISSIMULATION, c'est la confrontation et pas l'insinuation....

CO-V(o)ID, pour désigner un VIDE DE SENS monté ou fomenté (tissé, soit une trame [plot] : vous apprécierez le transfert de genre - ou de sens - de cette pratique dévolue aux femmes, sachant que la machination - la Machine à tisser, le rouet [spinning wheel] - s'entend aussi et évidemment des hommes), un plan forcément élaboré à plusieurs, soit une CONSPIRATION. Il n'y a que d'illégitimes agents ou faux espions/agents doubles pour dénier l'existence même de complot(s); n'importe quelle diplomatie, savoir-faire dans la négociation (pas le négoce ni le marchandage), a à faire avec ce type de dangers ou d'alliances à risque(s), et on imagine mal un diplomate digne de ce nom ignorer l'histoire internationale (truffée de complots, de tentatives d'assassinat etc etc). Ce qui veut dire, en gros ou globalement (à vue de nez), que l'organisation en question est bel et bien une organisation criminelle aux yeux d'un Etat constitutionnel en ce qu'elle CORROMPT les institutions (officielles, et officieuses car n'importe quelle Intelligence Agency c'est-à-dire Service[s] de Renseignements ou Services secrets puisque c'est une question de sécurité qui est engagée) et les institutions de l'Etat de Droit. L'Amérique aujourd'hui divisée (peut-être l'est-elle depuis longtemps mais cette division émerge aux yeux de tous), dans son expression politique (citoyenne), entre un kennedysme affiché par l'un de ses héritiers plutôt malmené par la Presse (de quoi lire le D initial comme celui de Dallas, lieu d'un crime invraisemblable car impensable auparavant tant la leçon ou plutôt la correction qu'ils ont voulu donner est spectaculaire) et un covidisme (usurpation du pouvoir, mainmise) qui entend prendre la suite et décider du climat mondial. C'est un passé qu'il faut assumer, une histoire qu'il faut mettre à jour (update) et ne plus déguiser : du ménage à faire.

L'affaire Corona virus - nom de code COVID19 : une GUERRE TAISANT SON NOM, une affaire américaine et strictement américaine, qui engage un Etat dont la diplomatie officielle est doublée et contrée par une diplomatie officieuse ou mafieuse (concurrente, ennemie) qui la met en échec et la contraint de la sorte à échouer dans tout projet de paix. Nous retrouvons là les concepts, que nous pouvons maintenant lier ensemble (concaténer : c'est notre algorithme à nous, 100% intelligence naturelle avec ou sans pentothal), ces concepts de war criminal(s), d'espionage, de confession (dans le double sens du terme : obédience religieuse et aveu ou révélation), de misformation, de propaganda.... de felony...

DONC : à charge de preuve(s), mais vous rigolez ? 

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Reprenons : D comme Dallas, D comme Donald aussi. Covidisme, trumpisme (ce n'est pas non plus une théorie : tout le monde rigolerait) c'est-à-dire une utilisation PERVERSE