

THE WORST CRIME (GUESS ! ) - 9
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THE WORST CRIME (GUESS ! ) - 9
Un autre point au programme anti-corruption, à la recherche analytique et à la confection conceptuelle des notions de war crimes, de worst crime en particulier à la lumière, de plus en plus forte ou intense, de ce que signifie le COVIDISME en son intention : une GUERRE SANS FIN, UN ETAT DE GUERRE, un nom de code ou d'opération : COVID19, et pour l'instant un seul mot-clef/d'entrée ou password "CORONA VIRUS", un virus circus ou un vide, un ensemble vide, un cercle vicieux, et une arme biologique : un vaccin sous ses différents labels d'origine Big Pharma. Cet autre point d'approche, ou méthode de focus (chaque fois déplacé, réinscrit etc.), c'est la métaphore.
La métaphore insistante (pas climatique) est celle de l'EAU; elle est en tout cas toute trouvée, avec les éléments dont nous disposons chaque jour un peu plus au su d'une CONSPIRATION que porte, pour l'instant, le nom de TRUMP. D'abord l'eau comme infiltration : une CIA ou espionnage abusif, dévoyé, qui plombe une DIPLOMATIE de droit (y compris dans l'espace dû ou d'usage du secret dans un Etat de droit) dans un contexte ou dans une situation internationale qui s'enflamme ou dont les lignes sont, semblent brouillées, compliquées à suivre pour cerner les tenants et les aboutissants des tractations et pour enrayer des guerres de diverses natures. Ensuite l'eau comme récession : un PROJET ou PLAN ouvertement exposé (Great Reset, grand remplacement) qui a l'air de se vouloir mondial ou plutôt global (les covidiens n'ont ni discours ni réflexion : ils dictent) mais sans l'aval du monde ni le consentement des peuples. Enfin (mais la liste doit pouvoir se poursuivre) l'eau comme ressac, reflux : un Passé tu, tabou, encombrant, ui ne peut qu'être criminel.
Au vu des diversions d'ordre tactique, telle celle du front américano-ukrainien-russe, il faut également avoir à l'esprit des idées d'avant en même temps que de maintenant : de maintenant, pour fixer l'idée d'USA non innocents politiquement dans la question ukrainienne et pour ne pas non plus dédouaner le Chef d'Etat russe de forfaits commis contre le peuple envahi, même si cette guerre n'est pas nouvelle là-bas et même si l'Amérique de Biden s'en sert ponctuellement au mépris de conventions internationales passées. Ce qui veut dire que le trajet de l'esprit pensant et enquêtant doit aller à Donald Trump puis à Joe Biden, et même revenir à Hillary Clinton si on lit une presse honnête; il suffit d'aviser l'un des titres de The Epoch Times (édition "Morning"), qui alerte derechef dans l'un de ses encarts ("En dépit du nombre grandissant de lecteurs se détournant des grands medias, on hérite d'une situation où ces derniers continuent de répandre de la haine et des mensonges"), qui informe que l'ancien avocat de H. Clinton est poursuivi pour avoir menti au FBI.
Et encore, la situation ukrainienne est confuse en vertu d'une médiatisation mono focale, monomaniaq
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