Pasolini, assassiné, peut nous mettre (disons, un de ses films peut le faire) sur la voie dans l'analyse conceptuelle du COVIDISME (une théorie de rien, qui hante des gens de rien, du vent) et du American War Criminal (c'est bien une guerre américaine, le salop n'est pas forcément ou à tous les coups américain) : un antikennedysme (AFFAIRE AMERICAINE), une pratique plus ou moins affichée (ils gouvernent à coups de décrets ou de diktats, votent des mesures limites...) de l'illégalisme, du chantage, de l'espionnage indu et attentatoire (Big Tech nous en offre une illustration nette), du sadisme (faut-il rappeler l'application de certaines mesures - masques par exemple aux tout petits ?), du racisme c'est-à-dire un suprématisme blanc, de la misogynie et de la gynophobie, de l'homophobie, d'une haine qui va jusqu'aux enfants etc etc., une MAFIA.

Pas la peine, aujourd'hui, de parler de la France (sauf pour souhaiter un report de l'élection présidentielle, en pleine campagne médiatique donc fausse mais où concourrent diverses extrêmes droites). Le FOCUS portera derechef sur cette Amérique impérialiste qui nous refait le coup de la Guerre Froide, qui vitupère sur le non-Occident, qui a inondé le marché international de produits toxiques en nous vendant l'idée chimérique d'une pandémie mortelle (une nouvelle peste, un nouveau choléra...) - un virus gugus minus, p'tit rhume - afin de justifier l'achat sur des vaccins mortels (autant dire de pseudo-vaccins, quelque chose qui relève de l'expérimentation) et une ruée consumériste alimentée par la peur. L'opération Covid ou Corona Virus (des couronnes, une couronne voltigerai[en]t-elle{s]), puisqu'il s'agit d'une GUERRE, s'est soldée par un fiasco (vaccinal) et mieux vallait détourner l'opinion et le regard du monde entier; rien de tel qu'une bonne guerre c'est-à-dire une guerre juste avec un bien et un mal (axe D, et c'est pas pour "Delta") ; le bien pousse à défendre la malheureuse - oie blanche - Ukraine tansi que le mal pousse à  combattre une Russie aux mains d'un Antidémocrate et vilain antisémite (qui plus est paranoïaque) puisque, brainwashing oblige contre l'exercice rationnel en temps gris de propagande massive, nous savons tous que les assassinats machinés, complotés, prémédités n'existent pas et que Poutine est un menteur. NOM DE CODE : COVID19, MOT-CLEF : COMPLOT ; je n'en ai trouvé qu'un pour l'instant, mais il doit y avoir d'autres et des NOMS PROPRES aussi.

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Puisque j'ai choisi une référence cinématographique pour cette nouvelle réflexion (et il me semble bien que P. P. Pasolini s'intéressait au cinéma-vérité, pûisque l'image qui accompagne le titre est celle de son film Salo ou les 120 journées de Sodome), je me réfère à ce champ avec un compte rendu de la Newsletter  (25-03-2022) de Jeff Hays : Jeff Hays Films "Movies that Make Movements". C'est, en effet, une dénonciation (pas une collaboration, non : un cri, même s'il n'est pas élevé), une dénonciation de la FDA (Food and Drug Administration) au sujet de laque