Une fronde aura touché en plein coeur de plus en plus de maires, face à l'hommage -à rendre ou pas- à feue la reine d'Angleterre. Malgré le souhait appuyé du Président Macron et relayé par sa Première-Servante, bon nombre d'élus locaux s'opposent becs-et-ongles à la mise en berne de notre drapeau tricolore.

A juste titre ou à déraison, jamais la France n'aura baissé la tête face à l'envahisseur ""anglois".

Car on ne touche pas aux oripeaux de notre Marianne nationale et nul n'est autorisé de les lui retrousser avec l'arrière-pensée de la mettre à genoux pour lui faire subir de décadents outrages... Après l'épisode du brexit qui fit tant de mal à la coopération européenne (hihihi) ; les anglais, ceux que nos ancêtres eurent tant de mal à "bouter" hors-de-France, valent-il une réhabilitation dans l'Histoire parce-que leur reine-mère, puis grand'mère fut bonne mère devant l'Eternel ? Qu'a bien pu offrir à la France Elisabeth II (prononcez Elizabeth avec un Z comme zéro) pour mériter qu'on lui alloue une bonne pensée ou qu'on lui verse une seule larme ?

Larmes à gauche, que nenni. En majorité, des pairs et maires élus à gauche jugent la demande incompréhensible ; la France étant avant tout une République démocratique très éloignée d'un système monarchique. "-Je n'appliquerai pas l'ordre de madame la 1ère Ministre [...] -Est-ce fait pour tous les Chefs-d'état qui décèdent ? -Pourquoi notre République laïque ferait-elle de la préférence pour une monarque coiffant aussi la tiare de grand'cheffe de l'Eglise Anglicane ?" -Comment voulez-vous être logique en mettant en berne des drapeaux sur nos écoles là où est inscrite la devise : "Liberté, égalité, fraternité" ? -Aucun concept n'est plus éloigné de "égalité" que celui de la monarchie. Rien donc contre la personne d'Elisabeth II" . (sic)

Née avec une tétine d'argent dans la bouche, interdite d'école communale pour ne pas qu'on la lui vole ; puis sans vrai métier répertorié, cette chômeuse pas tentée de s'affirmer aura passé sa vie à simuler de ses royales mains des "coucous d'essuies-glaces" face à une population qui enviait son si-particulier statut de si-glandeuse reine qui aura passé sa vie à queenner ("couiner en français" mais en anglais) telle une si reine celle-ci s'honore...

Elle mourra sans jamais avoir connu le prix d'un pudding-aux-harengs, ni avoir fait un quelconque chèque au fisc anglais. C'est dire combien elle aura vécu en dehors des réalités de sa vie et surtout de celle de ses vassaux.

Avec la perte d'Elizabeth, -la mature a toujours eu horreur du vide-, l'anglais de base l'aura "very-tablement" remplacée par un vrai King apte à veiller sur le royaume...

Je vous présente le king Charles.

Ses caractéristiques :

Son poil : long soyeux, caractérisé par des franges abondantes et pouvant être légèrement ondulé.
Sa couleur : peut être bicolore noir et feu (taches feu vif au-dessus des yeux, sur les joues, dans les oreilles, sur la poitrine, les membres et sous la queue, sans marques blanches), rubis (unicolore, d'un rouge intense et sans marques blanches), Blenheim (marques châtain vif scindées de façon égale sur la tête, sur fond blanc perle), tricolore (noir et blanc avec marques feu au dessus des yeux, au niveau des joues, dans les oreilles, à l'intérieur des membres et sous la queue). 
Sa tête : le crâne est presque plat, le stop peu accentué, les narines noires et bien développées, les mâchoires fortes avec un articulé en ciseaux parfait.
Ses oreilles : attachées haut, longues d'environ 35cm et garnies d'abondantes franges.
Ses yeux : de grandes dimensions, de forme ronde, de couleur sombre, bien écartés et jamais saillants.
Son corps : bien proportionné. Le cou est moyennement long et légèrement galbé, le dos droit, le rein court et les côtes bien cintrées.
Sa queue : de longueur proportionnée à celle du corps, bien attachée, portée gaiement, mais sans dépasser la ligne du dos.

C'est tout lui, ça ?